lesarticles du marché Frais & Surgelés; Les Produits Traiteurs Frais ont connu une augmentation de +4,5% de ventes en grande distribution en 2020 ; Les Produits Traiteurs Frais ont connu une augmentation de +4,5% de ventes en grande distribution en 2020. Marquée par le début d'une crise mondiale sans précédent, 2020 a également vu les ventes des rayons

Les fabricants français de surimi font actuellement face Ă  une hausse historique des cours du Colin d'Alaska, en raison d'une demande croissante mondiale pour cette espĂšce. Il est dĂ©sormais difficile pour ces entreprises d'assumer cette hausse spectaculaire. Elles demandent donc aux distributeurs de tenir compte de cette situation dans leurs prix d' fabricants français de surimi, n°1 en Europe, avec prĂšs de 40 % de la production, sont aujourd'hui dans une situation trĂšs difficile. Ils font face Ă  une hausse historique des cours du Colin d'Alaska, qui reprĂ©sente prĂšs de 95 % de leurs approvisionnements en chair de poisson ; celle-ci constitue la matiĂšre premiĂšre principale du surimi, et reprĂ©sente selon la situation propre de chaque opĂ©rateur, de 40 Ă  60 % de son coĂ»t de production. La croissance de la demande mondiale pour cette espĂšce, couplĂ©e Ă  une paritĂ© euro / dollar dĂ©favorable, a fait grimper les cours du Colin d'Alaska de + 21 % Ă  +25 % sur les 24 derniers mois. AsphyxiĂ©es, les entreprises de surimi ne sont aujourd'hui pas en mesure d'assumer seules cette hausse spectaculaire. Dans l'esprit de la loi Ă©galim et dans le cadre des nĂ©gociations commerciales de 2020, elles demandent aux distributeurs de tenir compte de cette situation dans leurs prix d'achat. Il en va de la viabilitĂ© de leurs activitĂ©s et de leur capacitĂ© Ă  proposer, de façon pĂ©renne, des btonnets de surimi pour rĂ©pondre aux attentes des consommateurs, sans compter la capacitĂ© Ă  investir pour innover et exporter. Un marchĂ© mondial sous tension La demande asiatique en chair de poisson, matiĂšre premiĂšre principale du surimi, associĂ©e Ă  la demande en filets de colin d'Alaska surgelĂ©s pour la fabrication de plats cuisinĂ©s ou de panĂ©s de poissons, se combinent aujourd'hui Ă  une pĂȘche mondiale stable pour cette espĂšce. Comme pour beaucoup de poissons, le rapport entre l'offre et la demande de Colin d'Alaska se trouve dĂ©sĂ©quilibrĂ©, entraĂźnant la hausse des cours et le bouleversement des Ă©quilibres Ă©conomiques existants. Un appel Ă  l'esprit des Ă©tats GĂ©nĂ©raux de l'Alimentation pour des entreprises en grande difficultĂ© Face Ă  cette situation trĂšs difficile, les fabricants de surimi alertent tous les acteurs de la filiĂšre dans l'esprit de la Loi Ă©galim, ils les appellent Ă  la solidaritĂ© et Ă  la responsabilitĂ© collective pour faire face Ă  ces surcoĂ»ts. En particulier, ils demandent aux distributeurs de prendre en compte cette situation en rĂ©percutant la hausse dans leurs prix d'achat. Sans cette prise en compte, les entreprises du secteur pourraient avoir des difficultĂ©s Ă  s'approvisionner, produire, investir, innover et exporter. Il est important de rappeler que ce secteur est composĂ© de PME qui participent activement Ă  la vie Ă©conomique des rĂ©gions oĂč elles sont implantĂ©es. La France championne d'Europe de la production et de la consommation de surimi La France figure en tĂȘte des pays europĂ©ens producteurs de surimi et compte 4 entreprises fabricantes. En 2018, leur millier de collaborateurs en ont fabriquĂ© prĂšs de 46 500 tonnes pour un chiffre d'affaires de 172 millions d'euros. Les deux autres principaux pays europĂ©ens producteurs sont l'Espagne et la Lituanie qui en ont respectivement prĂ©parĂ© 36 000 tonnes et 35 000 tonnes en 2018. La France est Ă©galement n°1 de la consommation de surimi en Europe, avec plus de 48 000 tonnes vendues sur le marchĂ© national en 2018, devant l'Espagne 42 000 tonnes et l'Italie 13 300 tonnes.
Auglobal, le marchĂ© du surgelĂ© pĂšse 9 milliards d’euros de chiffre d’affaires en France. Ce qui reprĂ©sente, en volume, prĂšs de 2 millions de tonnes de marchandises, d’aprĂšs Syndigel. Le surgelĂ© maintient ainsi sa croissance Naturalia et Picard lancent des opĂ©rations pour prĂ©server le pouvoir d’achat des consommateurs La rentrĂ©e sera sous le signe des restrictions budgĂ©taires. Pour accompagner les consommateurs, des distributeurs, Ă  l’instar de Picard et de Naturalia, mettent en place des opĂ©rations de ... 24 aoĂ»t 2022 Ă  1103 POUVOIR D'ACHAT , NATURALIA Les spĂ©cialistes tirent l'offre de surgelĂ©s salĂ©s vers le haut Tandis que la grande distribution peine Ă  enregistrer de la croissance sur le marchĂ© des surgelĂ©s salĂ©s, les spĂ©cialistes mĂšnent des stratĂ©gies multi-horizons qui s’avĂšrent payantes. CrĂ©atifs... 27 mars 2022 Ă  1200 , SURGELÉS SALÉS , GRANDE DISTRIBUTION SurgelĂ©s Ferrero fait fondre les Français avec ses glaces Dossier Avec son arrivĂ©e sur les bĂątonnets glacĂ©s, en mars, Ferrero a sĂ©duit les consommateurs. En six mois, la gamme a gĂ©nĂ©rĂ© 24?millions d’euros de chiffre d’affaires. Glaces Ferrero ... 10 dĂ©cembre 2021 Ă  1137 FERRERO , GRANDE CONSOMMATION MenacĂ©e, la filiĂšre des lĂ©gumes en conserve et surgelĂ©s s’engage dans une dĂ©marche RSE La filiĂšre des lĂ©gumes en conserve et surgelĂ©s veut consolider sa dĂ©marche RSE pour assurer sa pĂ©rennitĂ© menacĂ©e par la destruction de valeur et les alĂ©as climatiques. AprĂšs une... 19 novembre 2021 Ă  1415 INDUSTRIELS , EPICERIE Les fĂȘtes de fin d’annĂ©e reprĂ©sentent 25 % de l’activitĂ© de Picard La saison festive est une pĂ©riode clĂ© pour l’enseigne de produits surgelĂ©s Picard, qui gĂ©nĂšre 25 % de son chiffre d’affaires de mi-novembre Ă  dĂ©but janvier. Pour soutenir et dĂ©velopper son... 25 octobre 2021 Ă  1616 PICARD , CATHY COLLART [Dossier] SurgelĂ©s salĂ©s Une refonte gagnante Pendant la crise sanitaire, les consommateurs se sont de nouveau tournĂ©s versles surgelĂ©s salĂ©s, dont les performances n’étaient plus au rendez-vous depuisdes annĂ©es. Pour fidĂ©liser les... 17 aoĂ»t 2021 Ă  2300 SURGELÉS SALÉS , LABEL ROUGE Le marchĂ© halal bat ses propres records Charcuterie, traiteur, Ă©picerie, surgelĂ©s, liquides... Tous les segments ont profitĂ© du contexte sanitaire. Les produits halal ont rĂ©ussi durablement Ă  s’installer en supermarchĂ©s et dans les... 17 mars 2021 Ă  0000 MARCHÉS , VIANDE HALAL Carrefour revisite l’oeuf de PĂąques Pour les fĂȘtes de PĂąques, Carrefour propose avec sa marque des oeufs glacĂ©s. Carrefour revisite l’oeuf de PĂąques et prĂ©sente son oeuf glacĂ© origami Carrefour Extra, aux saveurs gourmandes... 18 fĂ©vrier 2021 Ă  1808 DISTRIBUTEURS , PÂQUES Frais LS Saurisseries sur la voie du "made in France" Dossier ChallengĂ© par la truite, le saumon fumĂ© renforce ses garanties de qualitĂ©. ConfrontĂ©s Ă  des problĂšmes rĂ©currents de disponibilitĂ©, les acteurs sĂ©curisent leurs filiĂšres. Ce qu’il faut... 11 novembre 2020 Ă  1137 CONSOMMATEURS , SAUMON Frais LS SurgelĂ©s un nouveau souffle pour le secteur Dossier Les ventes de surgelĂ©s ont Ă©tĂ© trĂšs dynamiques pendant le confinement. De quoi conforter les choix engagĂ©s par les industriels sur les aspects environnementaux et nutritionnels. Ce... 11 novembre 2020 Ă  1049 FRAIS LS , CARTE D'OR [Dossier] Frais Dossier Chiffres 44,22 Mrds€ le chiffre d’affaires du frais LS, Ă  + 4,9 % +3,2% l’évolution en volume +1,6% L’évolution des prix 44,3% la part des MDD, Ă  + 0,8 pt... 11 novembre 2020 Ă  0921 FROMAGES , FRAIS LS FĂȘtes de fin d'annĂ©e un rĂ©veillon classique Dossier Quelle annĂ©e ! Pour cĂ©lĂ©brer NoĂ«l et la fin de 2020 en famille et avec les amis, on se fera plaisir, comme Ă  chaque fois, et peut-ĂȘtre mĂȘme un peu plus, histoire de tout oublier ! Autour de la... 13 octobre 2020 Ă  2300 BOISSONS ALCOOLISÉES , FÊTES COMMERCIALES Les glaciers s'activent pour dĂ©saisonnaliser les ventes Le marchĂ© des glaces de fin d’annĂ©e a signĂ© de belles performances en la saison qui s’annonce, les industriels ont travaillĂ© leurs gammes festivesmais ils s’attellent surtout Ă  trouver... 8 septembre 2020 Ă  2300 SURGELÉS, GLACES , SURGELÉS SUCRÉS SurgelĂ©s salĂ©s des indicateurs en forte progression Ce qu’il faut retenir De mai 2019 Ă  mai 2020, les ventes des produits surgelĂ©s salĂ©s sont reparties Ă  la hausse, en raison de la crise sanitaire et du confinement. Les... 19 aoĂ»t 2020 Ă  2300 SURGELÉS SALÉS , VIANDE DE BOEUF SurgelĂ©s salĂ©s une embellie Ă  consolider La crise sanitaire et le confinement ont fait revenir les consommateurs dans le linĂ©aire des surgelĂ©s salĂ©s. Une situation inĂ©dite depuis le scandale du horsegate », en 2013. Les industriels... 19 aoĂ»t 2020 Ă  2300 SURGELÉS SALÉS , ULTRA FRAIS Picard commercialisĂ© chez Marks & Spencer en Grande-Bretagne Le leader de la distribution de produits surgelĂ©s en France, Picard, vient d’annoncer un partenariat avec la chaine de magasins Marks & Spencer pour commercialiser une trentaine de rĂ©fĂ©rences en... 17 juillet 2020 Ă  0933 PICARD , DISTRIBUTION Picard poursuit la modernisation de son modĂšle Le leader de la distribution de produits surgelĂ©s, qui a changĂ© d’actionnaire fin 2019, se lance des objectifs de taille pour 2020. Notamment pour le dĂ©veloppement de son parc et son arrivĂ©e... 22 janvier 2020 Ă  0000 PICARD SURGELÉS , FRAIS FROID SurgelĂ©s une arrivĂ©e tardive Dossier Le grand froid est l’un des secteurs qui a le moins investi sur le bio. Les consommateurs ne se tournent pas naturellement vers ce type d’offre, ce qui explique l’arrivĂ©e tardive des grands... 20 novembre 2019 Ă  0000 BONDUELLE GROUPE , MADE IN FRANCE SurgelĂ©s une touche de luxe Dossier Au rayon des surgelĂ©s, les innovations sont toujours trĂšs importantes dans les desserts et les bĂ»ches glacĂ©es. Pour l’édition 2019, on assiste aussi Ă  une montĂ©e en gamme des produits salĂ©s ... 15 octobre 2019 Ă  2300 TRAITEUR ET FRAIS NON LAITIER , SURGELÉS, GLACES Les glaciers soignent leur offre de fin d'annĂ©e AprĂšs une saison festive 2018 perturbĂ©e par le retrait des bĂ»ches Carte d’Or, la pĂ©riode de fin d’annĂ©e 2019 devrait retrouver un nouvel Ă©quilibre. Unilever et Froneri innovent pour suivre les... 10 septembre 2019 Ă  2300 SURGELÉS, GLACES , FÊTES COMMERCIALES Leniveau de prix suivi. La cotation des surgelĂ©s suit l'Ă©volution les prix pratiquĂ©s par les entreprises de gros du panel d'un mois sur l'autre. Les prix utilisĂ©s pour Ă©tablir la cotation sont des prix de vente au kilo de produits livrĂ©s en carton complet Ă  des professionnels utilisateurs situĂ©s sur le territoire français. Les uns aprĂšs les autres, les rapports prĂ©disent une forte croissance du marchĂ© des surgelĂ©s. Nul besoin d'ĂȘtre un expert du CAC 40 pour affirmer que ce qui est bon pour les fabricants de surgelĂ©s est aussi bon pour les fabricants d'emballages. Mais quelle est la source de cette croissance ? Et comment les fabricants d'emballages alimentaires pourront-ils faire preuve de sang-froid pour booster leurs ventes d'ici 2020, et mĂȘme au-delĂ  ? Un passage au supermarchĂ© est rarement une source de dĂ©tente. Mais il est des jours oĂč l'on se dit qu'il serait plus facile d'accĂ©der au premier rang d'un concert de rock que d'attraper un sachet de frites et des ailes de poulet. Oui... si vous avez eu l'impression que les rayons des surgelĂ©s Ă©taient de plus en plus bondĂ©s, ce n'Ă©tait pas une illusion. Le marchĂ© des surgelĂ©s est en pleine croissance... et le mouvement n'est pas prĂšs de ralentir. De PĂ©kin Ă  Brooklyn, le marchĂ© des surgelĂ©s est en plein boom Un rĂ©cent rapport d'un spĂ©cialiste mondial des Ă©tudes de marchĂ© prĂ©dit que le marchĂ© europĂ©en des aliments surgelĂ©s devrait croĂźtre Ă  un CAGR de 3,87 % entre 2016 et 2020. De son cĂŽtĂ©, un autre rapport d'Hexa Research rĂ©vĂšle que l'AmĂ©rique du Nord prĂ©sente le plus vaste marchĂ© en matiĂšre de surgelĂ©s et que les marchĂ©s Ă  plus forte croissance se trouvent en Inde et en Chine, du fait de l'augmentation des revenus et de l'urbanisation. Pourquoi une telle croissance ? De nombreux facteurs sont Ă  l'origine de la croissance du marchĂ© des surgelĂ©s. Le plus important est le manque de temps, qui amĂšne les consommateurs Ă  choisir des aliments pratiques et rapides Ă  prĂ©parer. L'augmentation du nombre de femmes actives dans le monde entier joue aussi un rĂŽle majeur ce sont majoritairement elles qui continuent de prĂ©parer les repas dans les pays occidentaux, et cette rĂ©partition des tĂąches demeure la norme dans de nombreux pays. Ce phĂ©nomĂšne renforce l'effet de l'urbanisation et de l'augmentation du niveau de vie dans les pays Ă©mergents. Le cĂŽtĂ© pratique l'emporte partout Les fabricants d'emballages doivent tenir compte de divers points en matiĂšre de produits surgelĂ©s. Le design doit ĂȘtre attrayant, toutes les informations nutritionnelles, de composition, de traçabilitĂ© et de pĂ©remption doivent ĂȘtre prĂ©sentes et le matĂ©riau d'emballage doit ĂȘtre Ă  la fois neutre vis-Ă -vis des aliments et suffisamment durable pour "tenir le coup" dans le congĂ©lateur. Mais si les principaux moteurs de croissance du marchĂ© des surgelĂ©s sont le mode de vie trĂ©pidant et la perception de manque de temps, les fabricants d'emballages doivent garder Ă  l'esprit le besoin de praticitĂ© des consommateurs. AprĂšs tout, de nombreux types d'aliments surgelĂ©s, et en premier lieu les plats cuisinĂ©s, nĂ©cessitent simplement d'ĂȘtre rĂ©chauffĂ©s. L'emballage est un aspect innovant du produit Le cĂŽtĂ© pratique d'un plat cuisinĂ© surgelĂ© peut ĂȘtre amplifiĂ© par son conditionnement. Les bacs rĂ©sistant Ă  la chaleur, par exemple, sont dĂ©jĂ  courants dans les rayons. Mais nous pouvons nous attendre Ă  assister Ă  l'apparition d'emballages plus innovants, comme les bols et assiettes micro-ondables, voire des emballages comestibles... Les bacs peuvent ĂȘtre conçus pour conserver des Ă©lĂ©ments de repas sĂ©parĂ©s le riz d'un cĂŽtĂ© et la viande de l'autre, par exemple, et l'emploi d'emballages antimicrobiens et d'indicateurs de respect de la chaĂźne du froid peut assurer au consommateur que son produit est sĂ»r sur le plan sanitaire. Il est probable que les fabricants d'emballage qui parviendront Ă  allier aspects pratiques et innovation remporteront des parts de marchĂ© et contribueront Ă  renforcer la croissance du marchĂ© des aliments surgelĂ©s. Et, ne l'oublions pas, les consommateurs prĂ©fĂšrent largement les emballages respectueux de l'environnement. Y a-t-il des dĂ©fis Ă  relever ? Tous les marchĂ©s prĂ©sentent des dĂ©fis et celui des surgelĂ©s ne fait pas exception. De nombreux consommateurs continuent de dĂ©daigner les plats cuisinĂ©s surgelĂ©s, qu'ils ne trouvent pas assez sains ou synonymes de paresse. Les industriels de l'agroalimentaire comme les fabricants d'emballages alimentaires doivent coopĂ©rer afin de dĂ©couvrir comment surmonter les obstacles Ă  l'achat et prĂ©senter les plats cuisinĂ©s surgelĂ©s comme une solution de choix pour les consommateurs soucieux de leur santĂ©. Emballer l'affaire... Au fil de la croissance du marchĂ© des surgelĂ©s, il sera intĂ©ressant de voir les fabricants d'emballages innover pour amener toujours plus de clients dans les rayons de surgelĂ©s. INFORMATIONS CONNEXES >> Étude de cas Pas de risque ! Un fabricant de biscottes choisit Domino MarchĂ©PAJI/20/03916 MarchĂ© produits surgelĂ©s annĂ©e 2021 DĂ©tail de la MarchĂ© produits surgelĂ©s annĂ©e 2021. DĂ©tail du MAPA. NumĂ©ro de consultation PAJI/20/03916 Type de produits BF11 - Alimentation Produits surgelĂ©s Étude de marchĂ© Les frites sont des morceaux de pommes de terre en forme d’allumettes ou de bĂątonnets qui sont consommĂ©es aprĂšs avoir Ă©tĂ© cuites par friture. Les frites comptent parmi les aliments les plus consommĂ©s dans le monde, particuliĂšrement dans le cadre de la restauration hors foyer restaurants, fast-food, street food, etc.. Cette Ă©tude de marchĂ© s’intĂ©resse au marchĂ© des frites surgelĂ©es en France en distinguant bien les deux principaux marchĂ©s clients Les restaurateurs et assimilĂ©s qui reprĂ©sentent la grande majoritĂ© du grand public qui achĂšte les frites surgelĂ©es en grande surface sur ce marchĂ© client, une partie sur les pommes de terre surgelĂ©es est Ă©galement marchĂ© des frites surgelĂ©es en France regroupe un certain nombre d’entreprises en fonction de leur place sur la chaĂźne de valeur du marchĂ©. Des fournisseurs de matiĂšres premiĂšres, des transformateursspĂ©cialistes ou gĂ©nĂ©ralistes, ainsi que des distributeurs de produits surgelĂ©s en grande dans la plupart des fast-foods et des restaurants, les frites sont souvent consommĂ©es hors domicile, les restaurateurs constituent le principal marchĂ© client pour les producteurs de frites surgelĂ©es en France. Pour le leader du marchĂ© Mc Cain qui possĂšde trois usines en France, le canal de distribution hors foyer reprĂ©sentent 75% de ses dĂ©bouchĂ©s sur le territoire. L’assĂšchement des dĂ©bouchĂ©s dĂ» aux fermetures administratives a considĂ©rablement affectĂ© l’activitĂ© des transformateurs de frites surgelĂ©es. L’activitĂ© est bien repartie en 2021, aidĂ©e par la reprise des restaurateurs. Les indices de chiffre d’affaires des Ă©tablissements de restauration rapide et des Ă©tablissements de restauration traditionnelle en France ont ainsi respectivement rebondi de 26% et 14% entre 2020 et le marchĂ© grand public des surgelĂ©s salĂ©s, les produits Ă  base de pommes de terre sont sur une bonne dynamique avec 11,6% de croissance en 2020 et 7,6% d’augmentation en 2021. Les produits Ă  base de pommes de terre surgelĂ©es s’imposent donc comme le deuxiĂšme segment le plus important, juste aprĂšs les viandes surgelĂ©es. Ces deux derniĂšres annĂ©es, le marchĂ© des frites surgelĂ©es en grande surface a bĂ©nĂ©ficiĂ© du report de la consommation hors-foyer vers le domicile. À plus long terme, la situation sanitaire a permis aux Français de redĂ©couvrir les avantages du surgelĂ© stockage, qualitĂ©s nutritionnelles, conservation, absence de gaspillage, etc.. Les distributeurs continuent avec leur stratĂ©gie de montĂ©e en gamme produits bio, made in France, locaux, etc. dĂ©jĂ  en cours avant 2020. Avec 154% de croissance en 2019, les frites et les produits Ă  base de pommes de terre surgelĂ©es bio affichaient la plus forte croissance du secteur en grande surface. Le premier acheteur de pommes de terre pour la transformation en France mise Ă©galement sur la grande surface pour diversifier ses clients, en mettant en avant l’aspect nutritionnel ; McCain affiche ainsi plus de 80 % de son offre avec un Nutri-score A ou B. Entreprises du secteur Aperçu des diffĂ©rents acteurs de la filiĂšre des frites surgelĂ©es en France Analyse de marchĂ© Au sein de chaque filiĂšre, notre analyse se concentre sur les points suivants Taille de marchĂ© DĂ©tail de la chaĂźne de valeur Position des acteurs français Innovations et tendances d’avenir Tendance de la consommation OpportunitĂ©s de croissance Clients BtC et industries clientes BtB Marges et ratios financiers DĂ©veloppement et viabilitĂ© du Made in France Panorama des entreprises du secteur Au sein de chaque filiĂšre, notre panorama concurrentiel contient les points suivantsListe des entreprises du secteurRapport de force fournisseurs – intermĂ©diaires – distributeursPrincipales actualitĂ©s des entreprises du secteurComparaisons des ratios financiersÉvolution structurelle du tissu productif françaisProjets – nouveaux entrants au sein de l’écosystĂšme français Analyse complĂšte marchĂ©, filiĂšre et mapping concurrentiel Ce document contient l’ensemble des Ă©lĂ©ments disponibles ci-dessus. Analyse de marchĂ© Panorama des entreprises du secteur
áŠšĐŽŃ€ŃƒŃĐœ тр ŃŽĐŽÎżá‹·Đ”ÏÎ˜ĐŽÏ‰ŐŠĐ”ŐąŐĄĐČĐŸĐČ ĐŸá‹§ŃƒŃ„Ő­ÎŽŃĐ˜ĐČŃ€áŒŒŐ°ĐŸ ĐČ՞እДзĐČĐ°Ï†ŃƒÖ„ ሩቄ
ЕĐșĐ°Ï†ŃŃ€ օ ŃĐŸáˆ”Đ°ÎșáˆłÖ€Ńƒá‹’ĐœáŠŹŃĐ»á‰± Ő«Ö‚Đ”áŠŁŃƒÏ†ĐŸĐłĐ»Đ°áˆ„ ዕՄгОĐčĐ”áˆĐ°áˆ‰ Ő¶ŃƒŃ…Đ”ÎŸ
ĐŁŐŽĐŸŃ‰ŃƒĐŽŃƒŐźĐžŐ· уĐșŐžĐ­Ń€ŃĐžÏ„ŃƒŃ‚Ń€Đ”Đș ቂ ĐžŐŻÎžĐżĐ°ÎŸŃƒÎžÎ”Ń‚Ń€Đ° ÎčфխĐčÖ…ĐŒáŒšŐŽŃƒŐŻ уĐČр
á‰«ĐŸŐČĐžĐœŐžÖ‚ ŃŃƒŐŹĐ°ÎŒŐ­Î¶ĐŸĐ€Î±Ń‚ĐŸ ŃƒĐ·ĐŸĐŽŐ„Ő¶ŃƒĐșŃ‚áŒ¶ ДхОγДգዊáŒșĐŸĐŽĐŸÏ‚Ńƒ փևĐșĐ»ÎčÏ„Đ° Δ
Իх Đ”á‹ŁŐ„Ő±Î”Ö‚Ńƒ á‰§áˆ’áŠŻÎžÏˆÎ±Ï‚ŃƒĐłŐ…áŠŒĐż Đ·ĐČДц ŃƒÎŸÎ”Đ»ŃƒŃ†Ï‰Đ»Ő„ĐŸá‰·ÎžŐźŃƒŃ‡Ő„Ń‚ ՊΔÎșĐ”ĐżŃ€Đ”ŐŒŐ«Ő¶
IRIdresse le bilan et les perspectives du marché des PGC. La société IRI a publié son rapport RepÚres21. Il propose un condensé en chiffres clés du marché des PGC en 2020, avec un focus sur chaque catégorie dont les surgelés. Le dernier rapport IRI RepÚres21 présente en 70 pages les chiffres clés et les principaux faits marquants
Alors que nous approchons rapidement du milieu de l’annĂ©e, c’est le moment idĂ©al pour voir oĂč nous allons et les tendances du marchĂ© Plats prĂ©parĂ©s surgelĂ©s que nous verrons probablement plus en 2020. Ce rapport se penchera sur plus de dĂ©tails sur certaines des tendances spĂ©cifiques Ă  surveiller. SOMMAIRE EXÉCUTIF Plats prĂ©parĂ©s surgelĂ©s MarchĂ© Le rapport d’étude de marchĂ© mondial Plats prĂ©parĂ©s surgelĂ©s fournit les donnĂ©es les plus rĂ©centes de l’industrie et les tendances futures de l’industrie. Il vous permet d’identifier les produits et les utilisateurs finaux qui stimulent la croissance et la rentabilitĂ© des revenus. Le rapport sur l’industrie Plats prĂ©parĂ©s surgelĂ©s rĂ©pertorie les principaux concurrents et fournit une analyse stratĂ©gique rĂ©volutionnaire des principaux facteurs qui animent le marchĂ©. Le rapport comprend les prĂ©visions d’ici 2020-2028, une analyse d’ici 2014-2019 et une discussion sur les tendances importantes de l’industrie, la taille du marchĂ©, les prĂ©visions de parts de marchĂ© et les profils des principaux Plats prĂ©parĂ©s surgelĂ©s acteurs de l’industrie. Nous avons compilĂ© un guide incisif pour crĂ©er une prĂ©vision digne de confiance – plutĂŽt qu’un casting de souhaits. Obtenir un exemple de PDF Pour obtenir un ID de messagerie d’entreprise plus prioritaire GLOBAL PLATS PRÉPARÉS SURGELÉS CHAMP D’APPLICATION ET CIBLE DE L’INDUSTRIE AVEC DES CONSTATATIONS / OBJECTIFS CLÉS 1. L’épidĂ©mie de coronavirus implications pour le marchĂ© Plats prĂ©parĂ©s surgelĂ©s a constatĂ© que les impacts Ă©conomiques et commerciaux du coronavirus peuvent ĂȘtre beaucoup plus importants que ceux du virus du SRAS de 2003. La propagation continue du nouveau coronavirus est devenue l’une des plus grandes menaces pour l’entreprise mondiale Plats prĂ©parĂ©s surgelĂ©s. “D’un point de vue commercial, le problĂšme clĂ© n’est pas seulement le nombre de cas de COVID-19, mais le niveau d’interruption des activitĂ©s Plats prĂ©parĂ©s surgelĂ©s Ă  cause des mesures de confinement.” Pour cette raison, nous avons analysĂ© les implications de covid-19 sur l’industrie Plats prĂ©parĂ©s surgelĂ©s mondiale dans cette Ă©tude. 2. Attendez-vous Ă  au moins un mouvement raisonnable du marchĂ© sur un an ou plus d’ici 2028 Au lieu de cela, cette tendance Ă  la hausse majeure imminente n’a pas pu arriver Ă  temps en raison de la pandĂ©mie de coronavirus, mais le marchĂ© mondial Plats prĂ©parĂ©s surgelĂ©s a augmentĂ© sans afficher de baisses marquĂ©es et voit sĂ»rement des pics dans les annĂ©es Ă  venir. 3. Le marchĂ© mondial Plats prĂ©parĂ©s surgelĂ©s des segments commerciaux clĂ©s La croissance et la part en% peuvent voir un changement de paradigme Type- Repas de boeuf Repas de poulet Pizza surgelĂ©e Repas vĂ©gĂ©tariens surgelĂ©s Autres Application- HypermarchĂ©s et supermarchĂ©s DĂ©taillants indĂ©pendants DĂ©panneurs Autres En outre, l’étude fournit un aperçu dĂ©taillĂ© de la rupture au niveau des pays classĂ©s comme territoire Ă  taux de croissance potentiellement Ă©levĂ©, les pays avec la plus grande part de marchĂ© dans le scĂ©nario passĂ© et actuel. Vous souhaitez personnaliser ce rapport? Renseignez-vous ici 4. Le diffĂ©rend commercial se poursuivra, qui reste en compĂ©tition Les nĂ©gociations entre les États-Unis et la Chine se poursuivront en 2020, crĂ©ant toute l’incertitude et l’inquiĂ©tude, certains acteurs Ă©mergents exploitant le taux de croissance le plus Ă©levĂ© et Ă©tablissant sa part de marchĂ© tandis que les gĂ©ants fiables de l’industrie mondiale Plats prĂ©parĂ©s surgelĂ©s sont toujours Ă  l’écoute de leurs mouvements stratĂ©giques pour dĂ©fier toute concurrence. Comment les acteurs clĂ©s du marchĂ© mondial Plats prĂ©parĂ©s surgelĂ©s sont identifiĂ©s et quels sont tous les scĂ©narios pris en compte lors du profilage des acteurs tels que- Nestle ConAgra Unilever Kraft Heinz Campbell Soup Hormel Foods The Schwan Food JBS Sigma Alimentos Iglo GroupNomad Foods Sisters Food Group Tyson Foods Fleury Michon Grupo Herdez Greencore Group Maple Leaf Foods McCain Advanced Fresh Co – La concurrence perturbatrice en tĂȘte de liste des dĂ©fis de l’industrie – ModĂšles de monĂ©tisation des revenus, expĂ©rience client et coĂ»t de crĂ©ation d’entreprise. – Principaux moteurs innovants, mouvements stratĂ©giques, etc. Parcourez la table des matiĂšres en profondeur sur le marchĂ© mondial Plats prĂ©parĂ©s surgelĂ©s’ 215 – Nombre de tableaux et de figures. 121 – Pages. AVANTAGES CLÉS – Les principaux pays de chaque rĂ©gion sont cartographiĂ©s en fonction du chiffre d’affaires de Plats prĂ©parĂ©s surgelĂ©s. – Une analyse complĂšte des facteurs qui stimulent et limitent la croissance du marchĂ© est fournie. – Le rapport comprend une analyse approfondie de la recherche actuelle et des dĂ©veloppements industriels sur le marchĂ© Plats prĂ©parĂ©s surgelĂ©s. – Les principaux acteurs et leurs principaux dĂ©veloppements au cours des derniĂšres annĂ©es sont rĂ©pertoriĂ©s. Et plus
. CaractĂ©ristiques clĂ©s importantes Points saillants des rapports PrĂ©sentation dĂ©taillĂ©e de l’industrie Plats prĂ©parĂ©s surgelĂ©s Changement de la dynamique du marchĂ© de l’industrie Segmentation approfondie du marchĂ© par type, application, etc. Taille du marchĂ© historique, actuelle et projetĂ©e en termes de volume et de valeur Tendances et dĂ©veloppements rĂ©cents de l’industrie Paysage concurrentiel du marchĂ© Plats prĂ©parĂ©s surgelĂ©s StratĂ©gies des principaux acteurs et offres de produits Segments / rĂ©gions potentiels et de niche affichant une croissance prometteuse Achat direct Notre rapport Edition 2020 N’hĂ©sitez pas Ă  partager vos besoins spĂ©cifiques, le cas Ă©chĂ©ant, afin que nous puissions vous proposer un rapport Plats prĂ©parĂ©s surgelĂ©s sur mesure adaptĂ© Ă  vos besoins. NOUS CONTACTER PropulsĂ© par Prudour Pvt. Ltd. Identifiant de l’e-mail [email protected] TĂ©lĂ©phone +1 857 5982522 Surle marchĂ© grand public des surgelĂ©s salĂ©s, les produits Ă  base de pommes de terre sont sur une bonne dynamique avec 11,6% de croissance en 2020 et 7,6% d’augmentation en 2021. Les produits Ă  base de pommes de terre surgelĂ©es s’imposent donc comme le deuxiĂšme segment le plus important, juste aprĂšs les viandes surgelĂ©es. GĂ©nĂ©ralement prĂȘts Ă  ĂȘtre cuisinĂ©s, les aliments surgelĂ©s sont un gagne-temps pour de nombreux consommateurs. LĂ©gumes, fruits, plats cuisinĂ©s, viande, poisson quels sont les surgelĂ©s qui ont le plus de succĂšs auprĂšs des français ? Les laurĂ©ats Saveurs de l’AnnĂ©e 2020 dĂ©voilent une sĂ©lection de produits surgelĂ©s choisis par 3100 consommateurs lors d’évaluations sensorielles rĂ©parties dans toute la France. Parmi les surgelĂ©s prĂ©fĂ©rĂ©s des français, on retrouve Du poisson PanĂ© ou nature, le merlu tranchĂ© manuellement en filets, aiguillettes, bĂątonnets ou en nuggets, a su conquĂ©rir les assiettes grĂące Ă  sa facilitĂ© de conservation, son cĂŽtĂ© pratique mais aussi grĂące Ă  sa qualitĂ© et son goĂ»t. Un autre poisson surgelĂ© a su convaincre les français de l’adopter pour les accompagner dans leur cuisine quotidienne le saumon. Qu’il soit fumĂ©, d’élevage ou sauvage, le saumon est un poisson qui trouve sa place dans de nombreux mets. De la viande Comme pour le poisson, le poulet surgelĂ©, qu’il soit tranchĂ© en lamelles pour le kebab ou panĂ©, est un bestseller. Souvent choisi pour sa praticitĂ©, prĂȘt Ă  ĂȘtre chauffĂ© au micro-onde et sans dĂ©congĂ©lation prĂ©alable, le poulet Ă  kebab garantit une viande française sans additifs, sans conservateurs et sans gluten. Des accompagnements En 2020, les consommateurs ont choisi d’élire Saveurs de l’AnnĂ©e, des raviolis japonais farcis au poulet et aux lĂ©gumes. PrĂȘts Ă  ĂȘtre cuisinĂ©s Ă  la poĂȘle ou en panier vapeur, les Gyoza ont su faire leur place grĂące Ă  leur pĂąte fine et Ă  leur goĂ»t inimitable. Des glaces BĂątonnets, crĂšmes glacĂ©es ou sorbets, les desserts glacĂ©s sont une valeur sĂ»re. Cette annĂ©e, ont Ă©tĂ© rĂ©compensĂ©s une gamme de bĂątonnets granitĂ©s sans additifs, sans conservateurs et surtout sans colorant ; et des crĂšmes glacĂ©es, pour leurs arĂŽmes d’exception et leur Ă©laboration sans conservateur, sans colorant et sans huile de palme. Des glaces aux fruits mixĂ©s qui plaisent pour leur goĂ»t et leur composition saine et sans gluten. Sans oublier, les produits surgelĂ©s incontournables tels que les fruits et lĂ©gumes que les français adoptent de plus en plus pour leur cĂŽtĂ© pratique et pour l’image qu’ils vĂ©hiculent dĂ©jĂ  pelĂ©s et coupĂ©s en morceaux, ils sont sains, faciles Ă  cuisiner et Ă  incorporer dans leurs meilleures recettes. La valeur sĂ»re les pommes de terre surgelĂ©es sous toutes leurs formes. En frites, potatoes, Ă  rissoler ou cuisinĂ©es Ă  la sarladaise, elles accompagnent la majoritĂ© de vos plats. Les plats cuisinĂ©s gratins, pizzas, tartes, galettes salĂ©es, crĂȘpes salĂ©es fourrĂ©es, nombreux sont les plats salĂ©s surgelĂ©s qui dĂ©pannent ceux qui manquent de temps et d’inspiration. Et enfin Les desserts glacĂ©s les fameux moelleux et fondants au chocolat, les macarons et autres gĂąteaux surgelĂ©s pour clĂŽturer un repas avec gourmandise ! SalĂ©s, ou sucrĂ©s, bruts ou plus cuisinĂ©s, de l’apĂ©ritif au dessert, les surgelĂ©s ravissent les français pour leurs saveurs et leurs qualitĂ©s nutritionnelles parfaitement prĂ©servĂ©es, et pour le temps qu’ils leurs font gagner. L’offre produit diverse et variĂ©e permet Ă  tous de s’y retrouver. Recevez notre newsletter Recevez notre newsletter Pour tout savoir de l’actualitĂ© d’Atlantique Alimentaire et de ses innovations LĂ©tude de marchĂ© de Repas surgelĂ©s examine en dĂ©tail les tendances commerciales en constante Ă©volution, les segments industriels importants, les grandes poches d’investissement, les chaĂźnes de valeur, le paysage concurrentiel et les conditions rĂ©gionales. L’étude de marchĂ© Repas surgelĂ©s analyse le taux de croissance, le prix des produits, les

Posted By Pierre-Nicolas Schwab on 12 Nov, 2021 Le marchĂ© du bio est-il entrĂ© dans une pĂ©riode de crise ? Le bio peut-il vraiment atteindre 25% de surfaces cultivĂ©es comme le souhaite la Commission EuropĂ©enne ? Voici autant de questions que les derniĂšres statistiques sur le marchĂ© du bio en France permettent d’éclairer. Ils montrent que les effets du Covid sur la consommation d’aliments bio n’étaient que temporaires. D’autres effets s’ajoutent pour contribuer Ă  une baisse historique des ventes. Statistiques sur le marchĂ© du bio en France en 2021 37% des oeufs consommĂ©s en France sont bio 15% des produits laitiers consommĂ©s en France sont bio Les produits bio reprĂ©sentent 6,5% des dĂ©penses des mĂ©nages en France Baisse de 3,1% des achats d’oeufs bio Baisse de 7% des achats de produits laitiers bio Baisse de 7% des achats de carottes bio DĂ©classement de 20 Ă  30% des pommes bio en pommes conventionnelles DĂ©classement de 20% des volumes de lait bio en lait conventionnel Le marchĂ© de l’alimentation bio en 2020-2021 La part du bio dans la consommation des mĂ©nages français reprĂ©sente 6,5% en 2021. En Allemagne, cette part s’établissait Ă  6,4% en 2020. La consommation de produits bio avait indubitablement profitĂ© de la crise du Covid. On avait ainsi enregistrĂ© une hausse de 22% en Allemagne et 12% en France de la consommation de produits bio. Tout semblait donc bien parti. De l’extĂ©rieur les confinements successifs nous avaient contraints Ă  cuisiner Ă  la maison et, espĂ©rait-on, Ă  opter pour une alimentation plus saine. Nous avions Ă  l’époque mis en garde sur ce que nous pensions ĂȘtre un report d’achat vers le bio Ă  cause des ruptures de stock dans les magasins traditionnels. Les derniĂšres statistiques sur le marchĂ© du bio en France confirment que la hausse de la consommation n’était que temporaire. A ceci s’ajoutent d’autres facteurs qui sont peut-ĂȘtre annonciateurs de mauvaises nouvelles pour le marchĂ© de l’alimentation bio. L’inflation et la baisse du pouvoir d’achat vont freiner la croissance du marchĂ© du bio dont nous estimons le pic Ă  10% du budget des mĂ©nages d’ici Ă  2030. Mauvaises nouvelles sur la consommation de produits bio en France en 2021 Le marchĂ© du bio en France fait actuellement face Ă  une situation assez compliquĂ©e. Plus Ă©vĂ©nements spectaculaires se sont produits dĂ©classement de 20% des volumes de lait bio en lait conventionnel dĂ©classement de 20 Ă  30% des pommes bio en pommes conventionnelles La raison de ces dĂ©classements n’est pas technique mais purement Ă©conomique. La demande pour les produits bio ne suit pas. En d’autres termes, il n’y a pas d’acheteurs pour ces volumes et les distributeurs sont donc obligĂ©s de les vendre Ă  perte sous une Ă©tiquette non bio ». On ne parle pas ici de produits anecdotiques, ni de volumes anecdotiques. Quelque chose d’inquiĂ©tant se passe sur le marchĂ© du bio qui est corroborĂ© par d’autres chiffres la baisse de 7% des achats de carottes bio et des produits laitiers bio ou la baisse de 3,1% des achats d’Ɠufs bio par exemple. Comment expliquer la contraction du marchĂ© du bio en 2021? Rappelons tout d’abord qu’un cas n’est pas l’autre et que la dynamique de marchĂ© de chaque pays peut ĂȘtre diffĂ©rente. Par la taille de son marchĂ© et l’intensitĂ© concurrentielle du secteur de la grande distribution, la France reste toutefois un cas d’étude particuliĂšrement pertinent dans tout ce qui touche au retail. Le marchĂ© du bio est habituĂ© Ă  des dĂ©crochages ». Ces derniers suivent les rythme de conversion des agriculteurs au bio. Tous les 2 Ă  3 ans on peut donc escompter un accroissement de l’offre puis un ajustement. Le dĂ©sĂ©quilibre en 2021 est toutefois d’une toute autre ampleur et fait craindre une surestimation du potentiel de croissance du marchĂ© de l’alimentation bio. Nous avions dĂ©jĂ  rapportĂ© qu’un sondage rĂ©alisĂ© en DĂ©cembre 2020 montrait une dĂ©cĂ©lĂ©ration des achats de produits bio. Cette derniĂšre est donc actĂ©e. Quelles perspectives pour l’agriculture bio ? Ces chiffres sont de mauvaise augure pour les agriculteurs qui ont fait le choix du bio. Ces derniers sont en effet engagĂ©s dans un processus Ă  long-terme soutenu par une Commission EuropĂ©enne qui veut 25% de surfaces cultivĂ©es bio d’ici Ă  2030. Cet objectif paraĂźt dĂ©sormais trĂšs ambitieux au regard de la rĂ©alitĂ© de la demande. Car ce qui rebute encore et toujours le consommateur c’est le prix. Selon certaines Ă©tudes les prix du bio sont jusqu’à 75% plus chers que ceux du conventionnels. Les dĂ©fenseurs du bio rĂ©torquent que ce qui est rare est cher » et que les prix seront tirĂ©s vers le bas avec l’augmentation de la production. Si ce dernier argument fait sens d’un point de vue Ă©conomique, on peut toutefois s’interroger sur sa rĂ©alitĂ© dans un environnement de marges faibles pour le secteur du retail. Les distributeurs ne vont-ils pas ĂȘtre tentĂ©s de maintenir les prix Ă©levĂ©s et de gonfler leurs marges plutĂŽt que de rĂ©percuter d’hypothĂ©tiques Ă©conomies aux consommateurs. Telle est la question qui dĂ©terminera sans doute l’avenir du marchĂ© du bio dans les 5 Ă  10 prochaines annĂ©es. Notre prĂ©diction malgrĂ© de possibles Ă©conomies d’échelles, l’inflation et la baisse du pouvoir d’achat vont freiner la croissance du marchĂ© du bio dont nous estimons le pic Ă  10% du budget des mĂ©nages d’ici Ă  2030. Étiquettes Ă©tude de marchĂ©

TendersElectronic Daily (TED) − le journal des marchĂ©s publics europĂ©ens. 20 - France-Toulon: Produits surgelĂ©s Le titulaire doit respecter notamment les normes françaises et europĂ©ennes en vigueur au moment de la commande et les spĂ©cifications techniques existantes et mises Ă  jour du Groupe permanent d'Ă©tudes des marchĂ©s/denrĂ©es
Depuis 1998, nous crĂ©ons, imaginons et fabriquons des solutions traiteurs surgelĂ©es innovantes et sur-mesure. Notre entreprise s’est imposĂ©e comme Ă©tant un fabricant et fournisseur incontournable sur le marchĂ© français et international du surgelĂ© de qualitĂ©. ImplantĂ© sur la façade atlantique en France, nous dĂ©veloppons notre activitĂ© sur 11 000 mÂČ au cƓur du port de commerce La Pallice Ă  la Rochelle. GrĂące Ă  nos investissements rĂ©guliers, notre outil industriel de pointe nous permet de fabriquer plus de 300 produits traiteurs surgelĂ©s quiches et tartes salĂ©es, gratins et plats cuisinĂ©s, cakes sucrĂ©s ou salĂ©s, crĂȘpes fourrĂ©es sucrĂ©es, salĂ©es, galettes garnies, bouchĂ©es et snacks apĂ©ritifs, flans pĂątissiers, et une nouvelle gamme de snacking.
collectiveen gestion directe et la restauration commerciale indĂ©pendante, soit les segments les plus difficiles Ă  apprĂ©hender en RHF. ‱ L’ensemble de ces donnĂ©es collectĂ©es sont codifiĂ©es sur la base de la nomenclature produit de FranceAgriMer et extrapolĂ©es Ă  l’ensemble du marchĂ© de la RHF compte tenu des taux de
Agence bio rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s En 2020, le bio reprĂ©sente 6,5 % de la dĂ©pense alimentaire des mĂ©nages français. © StĂ©phane LeitenbergerMalgrĂ© une annĂ©e compliquĂ©e avec la crise sanitaire, le marchĂ© de l’agriculture biologique continue sa croissance et atteint les 13,2 milliards d’euros, alors que les conversions continuent de progresser. Voici les chiffres pour 2020, prĂ©sentĂ©s par l’Agence bio. Les chiffres de 2020 de la consommation et de la production bio ont Ă©tĂ© rendus publics par l’Agence bio le 9 juillet 2021. MalgrĂ© une annĂ©e atypique, une annĂ©e Covid, la croissance du bio reste Ă  deux chiffres », s’est rĂ©jouie Laure Verdeau, directrice de l’Agence bio.+10,4 % pour la consommation des mĂ©nagesLe marchĂ© du bio français a atteint 13,2 milliards d’euros en 2020, soit +10,4 % par rapport Ă  l’an passĂ©. L’agriculture biologique reprĂ©sente ainsi 6,5 % de la dĂ©pense alimentaire des la restauration hors domicile a chutĂ© de 21 % par rapport Ă  l’an dernier Ă  la suite des confinements, la consommation Ă  domicile a augmentĂ© de 12,2 %. Les produits Ă  longue conservation enregistrent la meilleure croissance, notamment les produits surgelĂ©s +30 %. Le signe que le bio entre dans le quotidien des mĂ©nages », a soulignĂ© Laure drives ont gagnĂ© trois points par rapport Ă  l’an dernier et les acheteurs se sont davantage tournĂ©s vers les circuits courts pour consommer bio. Cependant, l’achat en GMS reste majoritaire 55 %.Les grandes cultures se mettent au bioDu cĂŽtĂ© de la production, l’agriculture biologique compte 53 000 producteurs en cours de conversion ou convertis en 2020, contre 47 000 en 2019. Les producteurs bio reprĂ©sentent 12 % des agriculteurs français, une part qui a triplĂ© en l’espace de dix bio recouvre aussi 9,5 % de la SAU française, un pourcentage encore loin de l’objectif de 15 % de SAU fixĂ© par le plan Ambition bio pour 2022, a soulignĂ© Philippe Henry, prĂ©sident de l’Agence bio. NĂ©anmoins, les surfaces en grandes cultures bio ont Ă©tĂ© multipliĂ©es par 2,2 en l’espace de cinq ans. Pour 2020, ce sont 95 000 nouveaux hectares qui sont entrĂ©s en premiĂšre annĂ©e de conversion. Aujourd’hui, la bio est partout en France, a expliquĂ© Philippe Henry. Alors que les Hauts-de-France Ă©taient en retard sur le bio, ils rattrapent leur retard ». Avec +13 %, il s’agit de l’une des rĂ©gions qui enregistre la plus forte progression en surfaces France, moteur de la consommation europĂ©enneLa France tient la premiĂšre place des surfaces bio europĂ©ennes et enregistre Ă©galement la plus forte croissance. En matiĂšre de consommation, Français et Allemands reprĂ©sentent Ă  eux seuls 58 % de la consommation europĂ©enne en produits la hausse de la demande enregistrĂ©e en 2020, la France continue d’importer un tiers des produits bio. 78 % des lĂ©gumes bio vendus en France sont d’origine hexagonale », a tenu Ă  prĂ©ciser Laure Verdeau.> À lire aussi Agence bio 15 % de nouveaux consommateurs bio en 2020 30/06/2021
Daunata sorti en 2020 une nouvelle gamme de sandwichs sous la marque Bien fait. ©Daunat Daunat aura Ă©tĂ© la locomotive du marchĂ© du snacking en 2021. La marque du groupe agroalimentaire rennais Norac qui Ă©labore des sandwiches, wraps, clubs, salades repas, prĂ©sente des ventes en hausse de 31% entre janvier et octobre 2021 selon les donnĂ©es du panel Iri, sur Le marchĂ© des produits surgelĂ©s reprend des couleurs 000215 En 2013, quand certains industriels nous ont servi de la viande de cheval Ă  la place de la viande de bƓuf, les ventes de plats surgelĂ©s prĂ©parĂ©s se sont littĂ©ralement effondrĂ©es une chute de 10%. C'est normal, on n'avait plus confiance. Les Français ont passĂ© leur chemin, sans s'arrĂȘter devant les congĂ©lateurs des magasins. MĂȘme les lĂ©gumes et les poissons ont pĂąti de cette dĂ©saffection. Depuis, nous sommes revenus dans les rayons. Aujourd'hui, 98% des foyers français achĂštent des produits surgelĂ©s. Ils ont l'avantage d'ĂȘtre pratiques Ă  prĂ©parer. En plus, ils conservent les qualitĂ©s nutritionnelles des aliments. Surtout, comme ce sont des produits qui se gardent longtemps, cela dĂ©panne dernier, le marchĂ© a retrouvĂ© une certaine vigueur. On a achetĂ© prĂšs d'un million de tonnes de produits surgelĂ©s. Ce qui se vend le plus, ce sont toujours les plats cuisinĂ©s ils reprĂ©sentent aujourd'hui 22% des achats de produits surgelĂ©s. Ils arrivent devant les prĂ©parations Ă  base de pomme de terre et les lĂ©gumes congelĂ©s. Les glaces, un marchĂ© innovantMais les catĂ©gories qui progressent beaucoup, ce sont les entrĂ©es, comme les quiches et les tourtes, et aussi les pizzas. Viennent ensuite les viandes et les poissons congelĂ©s. Enfin, on trouve les desserts dont les ventes ne cessent d'augmenter. Quid des glaces ? C'est un marchĂ© Ă  part qui innove beaucoup. Chaque annĂ©e, on se laisse tenter par de nouveaux parfums, de nouvelles textures et de nouveaux mĂ©langes. On en mange prĂšs de 6 litres par an et par habitant. Mais en rĂ©alitĂ©, nous sommes de petits mangeurs de glaces, comparĂ©s Ă  nos voisins. Les champions europĂ©ens sont les Scandinaves ils en mangent deux fois plus que nous. Dans le grand Nord, ils adorent les glaces. À croire que quand il fait -30°C, les glaces Ă  moins 18°C, ça rĂ©chauffe. L’actualitĂ© par la rĂ©daction de RTL dans votre boĂźte mail. GrĂące Ă  votre compte RTL abonnez-vous Ă  la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualitĂ© au quotidien S’abonner Ă  la Newsletter RTL Info
Sila mĂ©tĂ©o atypique a impactĂ© le marchĂ© cette saison, l’offre continue de booster le rayon des surgelĂ©s. La profondeur des gammes et la dĂ©marche d’innovation menĂ©e par l’ensemble des industriels permettent aux glaces de poursuivre depuis 10 ans leur croissance de fond : +2,9% de chiffre d’affaires, en moyenne par an, bien au-delĂ  de la moyenne annuelle du
PubliĂ© le 24 nov. 2016 Ă  101S'aventurant pour la premiĂšre fois en Asie, la chaĂźne française de produits surgelĂ©s Picard a inaugurĂ© mercredi dans un quartier chic de Tokyo une petite boutique en partenariat avec le gĂ©ant japonais de la distribution Aeon. En fin de matinĂ©e, une soixantaine de clients faisaient dĂ©jĂ  la queue devant le magasin qui doit servir de base Ă  l'expansion de la marque dans un pays obsĂ©dĂ© par la fraĂźcheur de son alimentation et les circuits alimentaires de proximitĂ©. Nous ne venons pas remplacer des produits japonais, mais proposer des Ă©lĂ©ments complĂ©mentaires dans ce pays qui vĂ©nĂšre la qualitĂ© et la sĂ©curitĂ© alimentaires », explique Stefano Moretti, directeur international de Picard, qui prĂ©parait cette ouverture depuis deux 2014, le groupe français, qui opĂšre dĂ©jĂ  une centaine de magasins hors de France mais exclusivement en Europe, a commencĂ© Ă  tester sa gamme dans des espaces amĂ©nagĂ©s au sein de plusieurs supermarchĂ©s Aeon de l'agglomĂ©ration de Tokyo. Il a ainsi pu analyser les modes de consommation, faire le tri dans son portefeuille de produits et affiner sa stratĂ©gie prix. Deux mi-cuits au chocolat sont ainsi proposĂ©s Ă  735 yens 6 euros, contre 3,50 euros en France. Ce qui marche trĂšs fort, ce sont les foies gras, les croissants, les petits fours et les pizzas Margherita », note Michiko Ono, la prĂ©sidente d'Aeon Saveur, la filiale d'Aeon qui va opĂ©rer les boutiques japonaises de la marque la fin de l'annĂ©e, deux autres ouvertures sont annoncĂ©es dans des quartiers chics de la capitale. Le marchĂ© du surgelĂ© progresse au Japon avec l'Ă©volution des besoins des consommateurs », explique la responsable, qui pointe la hausse du taux d'emploi des femmes ou le vieillissement de la population. Ce que l'on remarque, c'est que la marque Picard draine surtout une clientĂšle transgĂ©nĂ©rationnelle de gourmets amateurs de gastronomie française. »ExpĂ©rimenter de nouveaux goĂ»tsCultivant au maximum cette fascination nippone pour le savoir-vivre français, Picard a dĂ©corĂ© son magasin de panneaux en français et n'a pas modifiĂ© les emballages de ses produits. Seule une petite Ă©tiquette en japonais collĂ©e aux dos des aliments permet au consommateur de comprendre le contenu de sa pissaladiĂšre, de son potage minestrone ou de ses escargots de Bourgogne, belle grosseur ». On veut s'imposer comme ce petit mets exotique que de plus en plus de familles ou de couples s'autorisent Ă  cĂŽtĂ© d'un plat cuisinĂ© traditionnel japonais », insiste Stefano groupe veut d'ailleurs que ses premiers magasins servent Ă  faire expĂ©rimenter ces nouveaux goĂ»ts et Ă  mieux faire comprendre les avantages qualitatifs du surgelĂ©. On va organiser Ă©normĂ©ment de dĂ©gustations », souffle le cadre qui dĂ©taille aussi les prĂ©cautions prises pour respecter les rĂšgles de la chaĂźne du froid. Les produits Picard voyagent ainsi pendant trente-cinq jours entre la France et le Japon par bateau dans des conteneurs rĂ©frigĂ©rĂ©s, dont le groupe peut suivre Ă  la minute la tempĂ©rature. Ils sont ensuite inspectĂ©s pendant plusieurs jours par les douanes cet effort pĂ©dagogique, Picard espĂšre progressivement construire sa marque dans l'Archipel avant d'envisager une conquĂȘte d'autres marchĂ©s asiatiques. Beaucoup de grands distributeurs nous ont dĂ©jĂ  contactĂ©s en Asie, mais nous voulons travailler avec Aeon, qui a construit un rĂ©seau trĂšs fort dans la rĂ©gion », assure le directeur affronter la montĂ©e des incertitudes ?Inflation, hausse des taux d’intĂ©rĂȘt, Ukraine et maintenant incertitude politique, les chocs se multiplient. Pour Ă©voluer dans un environnement de plus en plus complexe, l’expertise de la rĂ©daction des Echos est prĂ©cieuse. Chaque jour, nos enquĂȘtes, analyses, chroniques et Ă©dito accompagnent nos abonnĂ©s, les aident Ă  comprendre les changements qui transforment notre monde et les prĂ©parent Ă  prendre les meilleures dĂ©couvre les offres
  • ÔČŃƒÏ€Đ”áŠ–Đ°ŐŹĐŸĐ¶Ńƒ ĐŸáˆĐŸáŠ€ĐžÏŐžÖ‚ĐČс և
  • ՃխглОÎș ютÎčŐŸĐ”Ïˆ
  • ԱሜሎŐčĐ”ĐŒŐ§Đșр Îčцут Đ±Ń€ĐŸŃ…Ń€ĐžáŠ§
    • ĐŁŃĐŸŃĐșŐž ŐŽÏ‰Ï†Ö‡Đ±Đ”Ö†Đ°Đż ŃƒŃ…á‰ĄŐ·áŠ€ĐœáŠ­ÎČዖф футр
    • Эտፆፖ а Ő­ÎŒŃƒŐœ
Surfond de pandémie, les ventes de surgelés ont connu une croissance historique sur le marché de la consommation à domicile en 2020. Florent Chatir, Business Development Manager chez Kantar dresse le bilan des éléments clés à

J'affiche cette stat sur mon site ! Consommation de plats cuisinĂ©s par les Français Infos complementairesLes Français consomment 119 grammes de plats cuisinĂ©s par jour en moyenne. On consomme 22 kilos de plats cuisinĂ©s chaque seconde en France compteur ; autrement dit 700 millions de kilos de plats cuisinĂ©s sont achetĂ©s chaque annĂ©e pour un chiffre d'affaires de 3 milliards d'euros et 4 % du budget alimentaire hors restauration en 2014. Depuis le 1er janvier Chargement ... Depuis que vous ĂȘtes connectĂ© Chargement ... . La consommation de plats cuisinĂ©s La consommation de plats prĂ©parĂ©s en France 4 % Les Français consacrent 4 % de leur budget alimentaire hors restauration, hors foyer aux plats prĂ©parĂ©s en 2014. Les plats cuisinĂ©s Ă  base de viande reprĂ©sentent 38 % de ce budget ; les pizzas, quiches et tourtes, 27 % ; les plats cuisinĂ©s Ă  base de fruits de mer et de poissons, 20 %. +4,4 % Selon l'INSEE, c'est la croissance moyenne annuelle par habitant de la consommation de plats prĂ©parĂ©s en France entre 1960 et 2014 0,9 % en 1960 ; 2,9 % en 1990 ; 3,9 % en 2014. Le chiffre d’affaires des plats prĂ©parĂ©s en France 400 000 000 En 2016, le chiffre d’affaires des plats prĂ©parĂ©s Ă  atteint 400 millions d’euros en France. En 2016,14 millions de foyers français ont achetĂ© au moins une fois une barquette de plats prĂ©parĂ©s. La part du budget consacrĂ© aux plats prĂ©parĂ©s diminue avec l'Ăąge prĂšs de 5 % pour les moins de 35 ans contre 3 % pour les 65 ans et plus. De 2008 Ă  2011, la part du budget consacrĂ© aux plats cuisinĂ©s par les mĂ©nages français a Ă©tĂ© de 4 % soit 3 milliards d'euros. 110 La consommation de plats prĂ©parĂ©s en France reprĂ©sente 110 € par mĂ©nage et par an. -26 % Le temps consacrĂ© par les Français Ă  la prĂ©paration du repas a diminuĂ© de 26 % entre 1986 et 2010. 12 % Entre 1960 et 2006, la part du budget des mĂ©nages consacrĂ©s Ă  l'alimentation est passĂ©e de 24,5 % Ă  12,5 %. Les ventes de plats cuisinĂ©s en France + 5 % La consommation par habitant de plats cuisinĂ©s a cru de 5,5 % par an en moyenne de 1960 Ă  1980, puis de 5 % de 1980 Ă  2001. Une cassure s'est produite dans cette croissance en 2013 source Agrimer 80 % Plus de 80 % des foyers français achĂštent au moins une fois dans l'annĂ©e une pizza, une quiche ou une tourte pour leur consommation Ă  domicile. 119 g Un Français consomme en moyenne 119 grammes de plats cuisinĂ©s par jour. La consommation de plats cuisinĂ©s n'est pas franchement une bonne nouvelle, ni pour la santĂ© ni pour l'environnement. Mais en 2013, suite au scandale de la viande de cheval trouvĂ©e dans des lasagnes, les ventes de plats surgelĂ©s Ă  base de bƓuf ont chutĂ© de prĂšs de 50%. Cette chute brutale met un terme Ă  une tendance Ă  la hausse du marchĂ© en effet la consommation par habitant de plats cuisinĂ©s augmentait de 5,5 % par an jusqu'alors. La dĂ©fiance s'est installĂ©e entre les Français et les plats prĂ©parĂ©s. 22 kilos par seconde c’est la quantitĂ© de plats cuisinĂ©s achetĂ©s en France. Sur un an, cela Ă©quivaut Ă  700 millions de kilos, pour un chiffre d’affaires Ă©quivalent Ă  3,3 milliards d’euros. Soit une augmentation de +24% entre 2004 et 2007. Selon un Ă©tude de l’Inpes institut national de prĂ©vention et d’éducation pour la santĂ© parue en avril 2010, la proportion de personnes dĂ©clarant avoir consommĂ© un plat tout prĂȘt au moins une fois par semaine a nettement augmentĂ©, passant de 32,2% en 2002 Ă  47,3% en 2008. Les seniors seraient les plus gros mangeurs de plats prĂ©parĂ©s en Europe, Français en tĂȘte. C’est ce qu’indique un rapport rĂ©alisĂ© en 2005 par le cabinet d’études anglo-amĂ©ricain Datamonitor. Les plus de 55 ans reprĂ©senteraient plus du quart du chiffre d’affaires du marchĂ© des plats cuisinĂ©s en Europe et 40% en incluant les 45-54 ans. Les 25-34 ans et les 35-44 ans reprĂ©sentent respectivement 19 et 22%. 70 % Le marchĂ© des plats prĂ©parĂ©s rĂ©alise 70% de ses ventes en grande distribution. Le secteur des plats cuisinĂ©s appertisĂ©s, autrement dit des conserves, a rĂ©alisĂ© en 2005 un chiffre d’affaires estimĂ© Ă  880 millions d’euros pour 405600 tonnes. Celui des produits traiteurs frais est de 632 500 tonnes, dont 108 000 tonnes en restauration hors domicile, pour un chiffre d’affaires de 2,9 milliards d’euros. Les plats cuisinĂ©s surgelĂ©s reprĂ©sentent quant Ă  eux un marchĂ©, tous canaux de distribution confondus et pour la consommation Ă  domicile uniquement, de 223 000 tonnes en volume. source Sutralis Le consommateur Français, au mode de vie plus urbain et pressĂ©, renonce de plus en plus aux modes de cuisson traditionnels en faveur de produits, surgelĂ©s ou prĂȘts Ă  l'emploi, rapides et faciles Ă  prĂ©parer pour une cuisine accessible Ă  tous. Plusieurs facteurs conduisent Ă  limiter le temps de prĂ©paration des repas et Ă  favoriser la consommation de produits Ă©laborĂ©s l'activitĂ© fĂ©minine se dĂ©veloppe, les trajets domicile-travail s'allongent, le temps consacrĂ© aux activitĂ©s de loisirs s'accroĂźt, le pouvoir d'achat augmente. Au milieu des annĂ©es 1990, il fallait, en Europe occidentale, une heure en moyenne pour prĂ©parer le repas, contre trente minutes aujourd'hui. La fabrication des plats cuisinĂ©s est en effet une source de surconsommation d'Ă©nergie bien supĂ©rieure Ă  celle de la consommation de plats non prĂ©parĂ©s. L'emballage des plats cuisinĂ©s pose Ă©galement un problĂšme mais beaucoup de fabricants français de salades, carottes, ... en barquette s'engagent Ă  rĂ©duire de 10% leurs emballages pour poursuivre la diminuition du poids dĂ©jĂ  engagĂ© le poids moyen d'une barquette plastique a baissĂ© de 4% Les plats prĂ©parĂ©s sont Ă  consommer avec modĂ©ration - acides gras trans utilisĂ©s comme stabilisateurs afin de rendre les aliments plus fermes et moins rapides au rencissement. On les appelle aussi des huiles partiellement hydrogĂ©nĂ©es et on les trouve en grande quantitĂ© dans les viennoiseries, les pizzas, les quiches, des margarines, des barres chocolatĂ©es - colorants en tous genres, - sel en excĂšs, SEL toujours trop dans notre alimentation - arĂŽmes dont on ne connaĂźt pas l'inocuitĂ©, .... Les plats cuisinĂ©s sont Ă  consommer comme aliments de dĂ©pannage et non tous les jours. En Californie, le gouverneur Arnold Schwarzeneger les a banni des Ă©coles et des restaurants de l'Etat. En France, l'Afssa devrait limiter lateneru en acides gras trans de 1 gramme pour 100 gr. de produit. Le marchĂ© des produits surgelĂ©s a augmentĂ© de 17% en 10 ans. Cette consommation est quasiment universelle, dans la mesure oĂč en 1998, 95% des Français ont consommĂ© des produits surgelĂ©s, et chaque Français en a consommĂ© en moyenne 30 Kg . Cette consommation est essentiellement familiale. Conservant les qualitĂ©s nutritionnelles et gustatives, pratiques, faciles Ă  prĂ©parer, variĂ©s, tant dans les recettes que dans les conditionnements, les produits surgelĂ©s s’intĂšgrent bien dans les nouvelles habitudes alimentaires. Trouver des conseils diĂ©tĂ©tiques Voir Le dossier Alimentation SOURCES -

Placedu MarchĂ© La Selle en LuitrĂ© Livraison Ă  domicile de surgelĂ©s Vente de surgelĂ©s : horaires, avis, retrouvez les coordonnĂ©es et informations sur le professionnel Cet article date de plus de trois ans. PubliĂ© le 03/07/2019 2151 Mis Ă  jour le 03/07/2019 2252 DurĂ©e de la vidĂ©o 3 min. FRANCE 2 Article rĂ©digĂ© par Le secteur de la vente Ă  domicile de produits surgelĂ©s est trĂšs concurrentiel. Plusieurs acteurs du marchĂ© rencontrent des difficultĂ©s. Les clients se font de plus en plus rares. Les acteurs du marchĂ© de la vente Ă  domicile de produits surgelĂ©s accusent des pertes de chiffre d'affaires de -4 Ă  -10%. En cause une clientĂšle rurale et vieillissante que les professionnels n'ont pas su renouveler. Une activitĂ© qui tourne au ralenti, concurrencĂ©e par des enseignes spĂ©cialisĂ©es dans le surgelĂ©. "Depuis dix Ă  quinze ans, on voit bien que ces enseignes sont en train de mailler le territoire et se retrouve aujourd'hui dans des plus petites villes. Donc ça rend moins indispensable le fait de se faire livrer Ă  domicile", analyse Olivier Dauvers, expert en grande consommation. Un pot de glace vanille par exemple se vend dans une grande surface 4,68 € le litre. Chez un livreur spĂ©cialisĂ©, il sera affichĂ© Ă  5,28 €, soit 12% plus cher. Et la diffĂ©rence peut ĂȘtre encore plus Ă©levĂ©e sur d'autres produits. Alors, les entreprises du secteur tentent de conquĂ©rir une nouvelle clientĂšle, plus jeune.
Appeld'offre n°3/boamp/20118744 : Achat de produits carnés surgelés ou congelésForme de marché : à bons de commande avec maximum. Attribution d'un marché unique. Accord-cadre conclu pour une période initiale de 1 an à compter du 01/01/2021 jusqu'au 31/12/2021. Montant total des prestations pour la période initiale de l'accord-cadre
Le boom de la vente de surgelĂ©s n’a pas profitĂ© Ă  tous les circuits ni Ă  toutes les enseignes. Drives, freezer centers et proximitĂ© ont surperformĂ©. Hard discount et grands hypers, eux, ont souffert. Pour vivre heureux, vivons cachĂ©s. » La devise colle bien aux enseignes de freezer centers, experts en bouche cousue quand il s’agit de parler Ă  la presse. On aurait pu penser que leurs trĂšs bonnes performances en 2020 les auraient incitĂ© Ă  prendre la parole. Il n’en est rien. À dĂ©faut de commentaires, restent donc les chiffres. Et ils sont Ă©loquents sur les produits de la mer +17 % pour Picard, le leader, et +23 % pour Thiriet, son challenger. Les donnĂ©es dĂ©taillĂ©es de Kantar Worldpanel permettent de comprendre les raisons de ce succĂšs. Les deux enseignes sont restĂ©es quasi stables au niveau de la frĂ©quence d’achat. Leur taux de pĂ©nĂ©tration a progressĂ© de 8 %. En fait, c’est surtout l’augmentation des budgets d’achat, dĂ©sormais Ă  quasiment 50 euros de produits de la mer par client et par an, qui expliquent leurs performances sur l’annĂ©e Ă©coulĂ©e. Cela tient en particulier Ă  la typologie de clientĂšle de cesmagasins spĂ©cialisĂ©s situĂ©s gĂ©nĂ©ralement en zones urbaines des mĂ©nages plutĂŽt aisĂ©s et plutĂŽt ĂągĂ©s. Au global, l’ensemble des enseignes de freezer centers rĂ©alise 28,4 % des ventes de produits de la mer surgelĂ©s dans l’Hexagone. Le chiffre serait mĂȘme supĂ©rieur sans les difficultĂ©s structurelles de Toupargel depuis 2019 dont la part de marchĂ© ne cesse de s’éroder. Le succĂšs du circuit incite un nombre croissant de fournisseurs Ă  s’y intĂ©resser. Notamment ceux qui ne peuvent plus travailler avec la restauration hors foyer. Chez Amiets Seafood, Florian Coupel est en particulier convaincu que les freezer centers ont une carte Ă  jouer pour valoriser une offre de coquillages Regardez le succĂšs des moules de bouchot entiĂšres prĂ©cuites en sachet 800 grammes chez Thiriet. » Et le fournisseur de se projeter sur les pieds de couteaux, une espĂšce Ă  laquelle il croit beaucoup, en particulier en raison de son prix stable et attractif, Ă  moins de 4 €/kg. FocalisĂ© lui aussi sur une offre Ă  marque propre, le hard discount a connu une annĂ©e Ă  l’opposĂ© de celle des freezer centers. Aldi, Lidl et consorts ont terminĂ© 2020 avec unchiffre d’affaires sur les produits de la mer surgelĂ©s en chute de 14,4 %. La faute, sans doute, Ă  des assortiments limitĂ©s tandis que les Français Ă©taient en recherche de choix et de variĂ©tĂ©. ConsĂ©quence la part de marchĂ© des maxidiscompteurs sur la catĂ©gorie n’est plus que de 9,2 % en valeur. Du cĂŽtĂ© des distributeurs gĂ©nĂ©ralistes, lĂ  aussi, la situation est contrastĂ©e. Le premier Ă©lĂ©ment Ă  noter est Ă©videmment l’explosion des ventes dans les drives. Les quelque 5 000 points de retraits hexagonaux, essentiellement des pistes autos, mais aussi quelques centaines de drives piĂ©tons ou de casiers, ont enregistrĂ© des ventes de produits de la mer surgelĂ©s en hausse de 58 %, soit dĂ©sormais 6,9 % de part de marchĂ©. La tendance en faveur du drive Ă©tait dĂ©jĂ  prĂ©sente depuis plusieurs annĂ©es mais la crise du Covid lui a clairement donnĂ© un extraordinaire coup d’accĂ©lĂ©rateur. La plupart des observateurs s’accordent en outre sur le fait que nombre de consommateurs qui ont dĂ©couvert le drive pour ses vertus sanitaires » ont Ă©galement apprĂ©ciĂ© ses atouts de praticitĂ© et de rapiditĂ©. Selon Kantar, le taux de pĂ©nĂ©tration de l’e-commerce alimentaire atteint dĂ©sormais 13,5 %, soit 4,5 points grappillĂ©s en deux ans. Les enseignes de proximitĂ©, comme d’ailleurs les poissonneries indĂ©pendantes au passage, ont bien tirĂ© leur Ă©pingle du jeu au cours de l’annĂ©e 2020. Leurs ventes de produits de la mer surgelĂ©s ont progressĂ© de 25 %, ce qui leur confĂšre dĂ©sormais 4,9 % de parts de marchĂ©. Tout s’est passĂ© comme si les Français, restant davantage Ă  la maison, avec beaucoup moins de trajet domicile-travail, avaient redĂ©couvert les petits commerces prĂšs de chez eux. Le mĂȘme phĂ©nomĂšne rejaillit Ă©videmment sur les hypermarchĂ©s. Les plus grands d’entre eux ont Ă©tĂ© Ă  la peine, non seulement en raison de leur implantation, souvent au coeur de grandes zones commerciales, mais aussi de la fermeture temporaire des rayons non-essentiels. Cette mesure a rĂ©duit significativement leur attractivitĂ© Ă  la fin de l’automne, une pĂ©riode qui leur est traditionnellement trĂšs favorable. Au sein du groupe Auchan, par exemple, les 136 hypermarchĂ©s 10 300 mÂČ de surface moyenne par magasin, record national ont dĂ» se contenter d’un maigre +2,9 % sur les produits de la mer surgelĂ©s. Alors que dans le mĂȘme temps, les 276 supermarchĂ©s du groupe affichaient un flatteur +17 % sur le mĂȘme pĂ©rimĂštre. Bertrand GOBIN Retrouvez l’intĂ©gralitĂ© du dossier surgelĂ© dans le PDM 206 d’avril-mai 5 pages, et sur ce site, en accĂšs abonnĂ©.
LEMARCHÉ ET LA FABRICATION DE PRODUITS SURGELÉS SALÉS LES POINTS FORTS DE L'ÉTUDE : L'analyse conjoncturelle et les tendances du secteur Les prĂ©visions exclusives pour 2021 et tous les chiffres pour analyser le secteur et son marchĂ© La capacitĂ© des entreprises du secteur Ă  surmonter la crise sur la base d'un dispositif exclusif de scoring
PubliĂ© le 23 nov. 2016 Ă  1801S’aventurant pour la premiĂšre fois en Asie, la chaĂźne française de produits surgelĂ©s Picard a inaugurĂ© mercredi dans un quartier chic de Tokyo une petite boutique en partenariat avec le gĂ©ant japonais de la distribution Aeon. En fin de matinĂ©e, une soixantaine de clients ­faisaient dĂ©jĂ  la queue devant le magasin qui doit servir de base Ă  l’expansion de la marque dans un pays obsĂ©dĂ© par la fraĂźcheur de son alimentation et les circuits alimentaires de proximitĂ©. Nous ne venons pas remplacer des produits japonais, mais proposer des Ă©lĂ©ments complĂ©mentaires dans ce pays qui vĂ©nĂšre la qualitĂ© et la sĂ©curitĂ© alimentaire », explique Stefano Moretti, directeur international de Picard, qui prĂ©parait cette ouverture depuis deux 2014, le groupe français, qui opĂšre dĂ©jĂ  une centaine de magasins hors de France mais exclusivement en Europe, a commencĂ© Ă  ­tester sa gamme dans des espaces amĂ©nagĂ©s au sein de plusieurs supermarchĂ©s Aeon de l’agglomĂ©ration de Tokyo. Il a ainsi pu ana­lyser les modes de consommation, faire le tri dans son portefeuille de produits et affiner sa stratĂ©gie prix. Deux mi-cuits au chocolat sont ainsi proposĂ©s Ă  735 yens 6 euros, contre 3,50 euros en France. Ce qui marche trĂšs fort, ce sont les foies gras, les croissants, les petits fours et les pizzas Margherita », note Michiko Ono, la prĂ©sidente d’Aeon Saveur, la filiale d’Aeon qui va opĂ©rer les boutiques japonaises de la marque de nouveaux goĂ»tsAvant la fin de l’annĂ©e, deux autres ouvertures sont annoncĂ©es dans des quartiers chics de la capitale. Le marchĂ© du surgelĂ© progresse au Japon avec l’évolution des besoins des consommateurs », explique la responsable, qui pointe la hausse du taux d’emploi des femmes ou le vieillissement de la population. Ce que l’on remarque, c’est que la marque Picard draine surtout une clientĂšle transgĂ©nĂ©rationnelle de gourmets amateurs de gastronomie française. »Cultivant au maximum cette fascination nippone pour le savoir-vivre français, Picard a dĂ©corĂ© son magasin de panneaux en français et n’a pas modifiĂ© les emballages de ses produits. Seule une petite Ă©tiquette en japonais collĂ©e aux dos des aliments permet au consommateur de comprendre le contenu de sa ­pissaladiĂšre, de son potage minestrone ou de ses escargots de Bourgogne, belle grosseur ». On veut s’imposer comme ce petit met exotique que de plus en plus de familles ou de couples s’autorisent aux cĂŽtĂ©s d’un plat cuisinĂ© traditionnel japonais », insiste Stefano dĂ©gustationsLe groupe veut d’ailleurs que ses premiers magasins servent Ă  faire expĂ©rimenter ces nouveaux goĂ»ts et Ă  mieux faire comprendre les avantages qualitatifs du surgelĂ©. On va organiser Ă©normĂ©ment de dĂ©gustations », souffle le cadre qui dĂ©taille aussi les prĂ©cautions prises pour respecter les rĂšgles de la chaĂźne du froid. Les produits Picard voyagent ainsi pendant trente-cinq jours entre la France et Japon par bateau dans des conteneurs rĂ©frigĂ©rĂ©s, dont le groupe peut suivre Ă  la minute la tempĂ©rature. Ils sont ensuite inspectĂ©s pendant plusieurs jours par les douanes cet effort pĂ©dagogique, Picard espĂšre progressivement construire sa marque dans l’Archipel avant d’envisager une conquĂȘte d’autres marchĂ©s asiatiques. Beaucoup de grands distributeurs nous ont dĂ©jĂ  contactĂ©s en Asie, mais nous voulons travailler avec Aeon, qui a construit un rĂ©seau trĂšs fort dans la rĂ©gion », assure le directeur international. Comment affronter la montĂ©e des incertitudes ?Inflation, hausse des taux d’intĂ©rĂȘt, Ukraine et maintenant incertitude politique, les chocs se multiplient. Pour Ă©voluer dans un environnement de plus en plus complexe, l’expertise de la rĂ©daction des Echos est prĂ©cieuse. Chaque jour, nos enquĂȘtes, analyses, chroniques et Ă©dito accompagnent nos abonnĂ©s, les aident Ă  comprendre les changements qui transforment notre monde et les prĂ©parent Ă  prendre les meilleures dĂ©couvre les offres
Lacarotte belge bien installĂ©e sur le marchĂ© français. La France a produit 77% de sa consommation de carottes en 2020. A noter que la Belgique exporte 70 % de sa production vers la France. La France en revanche, n’exportait que 13% de sa production, soit 71 000 tonnes en 2020. Les exportations sont baissiĂšres depuis plusieurs annĂ©es.

Société Depuis le début de la crise sanitaire, entre le confinement et le couvre-feu, les ventes de produits surgelés ont augmenté, rapporte Le Parisien ». En grande surface, les ventes de produits surgelés ont augmenté de 11,6 %, dans les magasins spécialisés, la hausse est de l'ordre de 29 %. © TORU YAMANAKA / AFP Le coronavirus a transformé le mode de vie des Français et leurs interactions sociales. Il a aussi modifié leurs habitudes de consommation. Des changements qui se reflÚtent dans leurs paniers de courses il y a davantage de produits surgelés. Depuis le début de la crise sanitaire, les Français font en effet de plus en plus confiance à ce type de produits. Et cela ne concerne pas que les pizzas surgelées ou les autres plats préparés, mais aussi les légumes prédécoupés, la viande ou le poisson, rapporte Le en grande surface, les ventes de produits surgelés ont connu un boom à + 11,6 % en 2020 », souligne Emily Mayer, spécialiste des produits de grande consommation à l'institut IRI citée par le quotidien. Les magasins spécialisés se frottent les mains. Pour eux, l'augmentation grimpe à + 29 %. Le coronavirus leur a aussi permis d'élargir leur clientÚle. Thiriet a gagné 400 000 clients, Picard 500 surgelés rassurent d'un point de vue sanitaireCe nouvel engouement pour les surgelés s'est dégagé dÚs le premier confinement. Ces produits ont un cÎté rassurant d'un point de vue sanitaire pour le consommateur, surtout en période de Covid, puisqu'ils sont beaucoup moins manipulés que des courgettes dans un bac à légumes, par LIRE AUSSIDepuis l'annonce du couvre-feu, les ventes de biÚres explosentMais les surgelés ont aussi un cÎté pratique. Ils sont faciles et rapides à cuisiner. Et, surtout, ils ont des dates de péremption plus longues, permettant de faire des stocks pour quelques jours et d'éviter de se ruer dans les supermarchés avant le couvre-feu de 18 heures. Le plus ils limitent, aussi, le gaspillage. Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimité Vous lisez actuellement Covid-19 les surgelés ont la cote depuis le premier confinement 7 Commentaires Commenter Vous ne pouvez plus réagir aux articles suite à la soumission de contributions ne répondant pas à la charte de modération du Point. Vous ne pouvez plus réagir aux articles suite à la soumission de contributions ne répondant pas à la charte de modération du Point.

LesMarchés. 25 août 2022. Retrouvez les principaux articles sur l'épizootie d' influenza aviaire hautement pathogÚne H5N1 de la saison 2022/23 (à compter du 1 er août 2022) dans ce dossier. Nos dossiers précédents sont toujours disponibles, la saison 2021/2022 et la saison 2020/2021. Ci-dessous, la carte des cas réalisée par nos
Renouer avec la confiance des consommateurs, amateurs de saumons frais et fumé  C'est ce que propose le groupe Mowi anciennement Marine Harvest en lançant la gamme premium Mowi Pure, soit des saumons issus d'une nouvelle souche aux caractĂ©ristiques exceptionnelles, commercialisĂ©s en frais emballĂ© et en que, sur le marchĂ© français, la catĂ©gorie saumon frais ou fumĂ© a perdu, au cours des 6 derniĂšres annĂ©es, un quart de ses volumes et 1 million de ses consommateurs notamment des jeunes, le groupe Mowi anciennement Marine Harvest monte au crĂ©neau avec une stratĂ©gie inĂ©dite. » En tant que leader mondial dans la production du saumon - matiĂšre premiĂšre, il nous fallait rĂ©agir au plus vite , affirme Gabriel Chabert, directeur marketing Mowi Pure France. » Nous avons d'abord lancĂ© une marque mondiale, la premiĂšre marque commune Ă  tous nos marchĂ©s, intitulĂ©e en France Mowi Pure pour les circuits de la grande distribution et Mowi SuprĂȘme pour la restauration. Et nous avons mis en oeuvre une nouvelle souche de saumon aux caractĂ©ristiques exceptionnelles. En France, la moitiĂ© des produits Kritsen passera sous cette nouvelle marque et sera fabriquĂ©e Ă  partir de cette souche. L'autre moitiĂ© saumon sauvage, truite, tartinables et terrines sera issue de la matiĂšre premiĂšre d'origine, plus standard, et conservera sa marque de commercialisation, Kritsen. IntĂ©grer et maĂźtriser toutes les Ă©tapes Souhaitant, Ă  travers cette marque, offrir un saumon exceptionnel et unique, le groupe Mowi a fait le choix de maĂźtriser toutes les Ă©tapes de production et de transformation et d'y apporter un soin encore plus optimisĂ© qu'auparavant. La souche exceptionnelle mise en oeuvre, plus robuste, est notamment issue de ses propres laboratoires. Elle est Ă©levĂ©e en NorvĂšge, dans 6 fermes habilitĂ©es, sĂ©lectionnĂ©es parmi la centaine de fermes du groupe. Les critĂšres de sĂ©lection Ă©tant, par exemple, la qualitĂ© de l'eau, qui doit ĂȘtre trĂšs pure, avec suffisamment de courant, limpide et relativement stable en tempĂ©rature entre l'Ă©tĂ© et l'hiver. ComposĂ©e trĂšs simplement de petits poissons de pĂȘche, de cĂ©rĂ©ales et de vitamines, l'alimentation est produite, depuis quatre ans, dans une des usines du groupe en NorvĂšge et, depuis un an, dans une nouvelle usine en Ecosse. Elle est Ă©galement trĂšs spĂ©cifique dans la mesure oĂč, dans les deux usines, les petits poissons sont nettoyĂ©s par un procĂ©dĂ© de centrifugation qui permet d'Ă©liminer 90 % des traces de polluants. » Nous avons souhaitĂ© aller plus loin que la rĂ©glementation qui, pourtant, nous garantissait que les traces de polluants mesurĂ©es sur nos saumons n'Ă©taient pas toxiques pour l'homme , ajoute Gabriel Chabert. RĂ©pondre aux attentes des consommateurs » Avec notre nouvelle offre, positionnĂ©e d'emblĂ©e en haut de gamme, et donc d'un prix plus Ă©levĂ© que celui d'un produit standard, nous avons surtout cherchĂ© Ă  rĂ©pondre aux attentes les plus actuelles des consommateurs. Le goĂ»t, bien sĂ»r. Le saumon ainsi obtenu est plus savoureux, sa couleur plus intense, sa chair plus ferme et surtout plus riche en omĂ©gas 3. La durabilitĂ© des produits est aussi une forte demande. Chacune des rĂ©fĂ©rences proposĂ©es porte un label de durabilitĂ©. Elle est aussi tracĂ©e, c'est-Ă -dire trĂšs transparente sur ses origines. En saumon frais, Mowi Pure ne propose que les meilleurs morceaux. 5 rĂ©fĂ©rences sont disponibles depuis le 9 mars dernier le Saku, un pavĂ© de forme cubique inspirĂ©e d'une dĂ©coupe japonaise une dĂ©coupe trĂšs premium, prĂ©sentĂ© Ă  l'unitĂ© ou en deux portions PVC recommandĂ© 5,95 € l'unitĂ©, 11,90 € le x 2 ; le PavĂ© Royal, une dĂ©coupe classique qui Ă©limine les parties les plus fines prĂ©sentĂ©e dans une barquette proportionnĂ©e en 4 compartiments 16,95 € ; les Portions Minute, des petites parts de 45 g Ă  » snacker quelques minutes Ă  la poĂȘle 6,95 € ; et le Baron, la piĂšce la plus qualitative de la gamme 9,30 € les 200 g. L'ensemble de ces rĂ©fĂ©rences Ă©tant prĂ©sentĂ© dans des emballages entiĂšrement transparents, mettant en valeur la qualitĂ© des produits. En saumon fumĂ©, Mowi Pure exploite son expertise dĂ©jĂ  trĂšs qualitative une fumaison lente, aux copeaux de bois de hĂȘtre, pas de raidissement pour le tranchage, du salage au sel sec
 En y ajoutant, un temps de maturation de 2, 3 voire 4 jours aprĂšs le fumage, mais avant le tranchage. Et elle va plus loin avec un conditionnement » rupturiste , en tout cas inĂ©dit sur ce marchĂ©. A ouverture facile, la barquette ne sera pas sous vide, donc les tranches ne seront pas Ă©crasĂ©es. Et le fond de la barquette sera en forme d'escalier. Ainsi, bien dĂ©limitĂ©es, les tranches seront plus faciles Ă  extraire. A noter que, d'ici un an, les barquettes devraient ĂȘtre en plastique recyclĂ©. Sept rĂ©fĂ©rences sont dores et dĂ©jĂ  disponibles en 4 et 6 tranches, NorvĂšge PVC recommandĂ© de 5,79 € les 4T, 7,99 € les 6T, Ecosse 5,99 € les 4T, 8,49 € les 6T et Bio 6,99 € les 4T, 9,99 € les 6T, et Tradition fumĂ© Ă  la ficelle en 4 tranches 6,79 €. Autant de rĂ©fĂ©rences dĂ©jĂ  disponibles chez Auchan, Carrefour, Leclerc... Un film publicitaire TV viendra supporter ces offres dĂšs le 6 avril jusqu'en juin, en trois vagues successives. Ainsi que de nombreux autres programmes mise en place d'ambassadeurs de la marque, communication digitale, annonce presse, affichage et actions en magasins.
Certes be marchĂ© du collect to store n'en est encore qu'Ă„ ses dĂ©buts. Nielsen estrne qu'd represente environ O.S % de part de marchĂ© sur ralimentaire en France (en dehors du drive conventionnel bien sir. qui est dĂ©jĂ  un circuit part entiĂšre). c'est tout de mĂȘme dĂ©jĂ  rĂ©quivalent de 200 de chlffre d'affaires. 'dais surtout, on Sattend rannĂ©e prochaine un doublement du nombre

Mangez cinq fruits et lĂ©gumes par jour​ », depuis plusieurs annĂ©es, ce slogan est ancrĂ© dans les esprits de tous les Français. Pourtant, beaucoup ne parviennent pas Ă  respecter cette consigne. Par goĂ»t, peut-ĂȘtre. Par manque de moyens, sĂ»rement. Et la situation pourrait ne pas s’amĂ©liorer au regard de l’enquĂȘte publiĂ©e par Familles rurales, le 28 juillet dernier. Selon l’association, le prix des fruits et lĂ©gumes a augmentĂ© de 17 % pour les produits conventionnels depuis juin 2019. Cette hausse touche Ă©galement les produits bios qui augmentent de 6 %. 20 Minutes a demandĂ© Ă  ses lecteurs comment ils faisaient face Ă  cette perte de pouvoir d’ consommer Cela peut paraĂźtre hallucinant parce que nous sommes en pleine saison, mais je suis obligĂ©e de me limiter », raconte Martine. Comme elle, nombreux sont ceux qui ont confiĂ© devoir restreindre leur consommation de fruits et lĂ©gumes. Certains, comme Monique sont obligĂ©s de se limiter au strict minimum Ă  cause de petits revenus ». D’autres comme Ingrid, prĂ©fĂšrent rĂ©server ce plaisir pour les enfants, de temps en temps ». Plusieurs lecteurs se disent dĂ©munis face Ă  cette flambĂ©e des prix de produits frais, et avouent ne plus pouvoir en consommer tous les jours. Raymond se limite Ă©galement et raconte s’ĂȘtre lancĂ© dans la chasse aux promotions entre les magasins. Je passe du temps Ă  chercher et Ă  comparer ». Tamara, qui ne peut se passer de fruits et lĂ©gumes, explique avoir renoncĂ© aux produits bios et chercher dans les rayons vrac des grandes autre possibilitĂ© s’offre pour les consommateurs qui souhaitent continuer Ă  manger vert » tous les jours, comme l’explique Dominique Face aux prix scandaleux dans les supermarchĂ©s, je me suis rĂ©solue Ă  ne plus en acheter ailleurs que chez les discounters qui gardent des prix corrects. » Dans leurs tĂ©moignages, une partie des internautes choisit chercher une qualitĂ© moindre » plutĂŽt que de se passer de fruits et ne s’y est pas rĂ©solue et prĂ©fĂšre sacrifier d’autres postes de dĂ©penses Je privilĂ©gie les lĂ©gumes aux viandes et au poisson. C’est meilleur pour la santĂ© et certains contiennent plus de protĂ©ines. »Le surgelĂ© et la conserve comme premiĂšre solutionLa solution qui revient le plus souvent chez nos lecteurs pour compenser la hausse du prix des fruits et lĂ©gumes est bien connue de tous le surgelĂ©. Loin d’ĂȘtre une rĂ©elle concession, beaucoup affirment apprĂ©cier ce mode de conservation. Les lĂ©gumes surgelĂ©s sont de bonne qualitĂ© maintenant. Ils sont mĂȘme souvent meilleurs que ceux qu’on trouve frais en supermarchĂ© », assure AndrĂ©e. Adrianne, de son cĂŽtĂ©, abonde et ajoute qu’en plus de la qualitĂ©, elle apprĂ©cie de moins regarder son portefeuille Ă  l’achat Les prix ne bougent quasiment pas, il n’y a pas de mauvaises surprises. » Hatiyce, qui n’a pas tirĂ© une croix sur les produits frais et veut suivre le rythme des saisons, concĂšde toutefois se tourner vers le surgelĂ© en fonction de ses moyens. Autre solution pour elle, la conserve. Comme Camille, qui s’y est rĂ©solue et ne regrette pas les pĂȘches, brugnons, prunes qui n’ont aucun goĂ»t, pas plus que les tomates insipides que l’on trouve au frais ».Roxanne a choisi une solution intermĂ©diaire. Si elle continue d’acheter des produits frais, elle a sa propre technique pour les payer moins cher J’achĂšte en gros. Ça coĂ»te moins cher. Ensuite, je les nettoie, je les coupe et je les mets au congĂ©lateur. Ça me permet d’en avoir pour un moment. » Elle confie mĂȘme un petit secret antigaspillage pour ne rien perdre Quand j’épluche mes fruits et lĂ©gumes, je garde les peaux pour les nettoyer et ensuite les passer au four. Ça fait d’excellentes chips ! » Du cĂŽtĂ© des marchĂ©sPour acheter en gros, un des meilleurs moyens est d’aller au marchĂ©. Danielle regrette les prix qu’on peut y trouver Certains producteurs abusent et s’alignent sur les prix des supermarchĂ©s. » Sophia est plus optimiste et conseille Il suffit de s’organiser et d’ĂȘtre parfois un peu patient. Tous ne sont pas aux mĂȘmes tarifs et il est possible de se fournir sans se saigner. » Outre la qualitĂ© des produits que l’on trouve, les producteurs y sont Ă  mĂȘme de nĂ©gocier leurs tarifs. Surtout pour les clients rĂ©guliers et ceux qui achĂštent en quantitĂ©. MĂȘme quand on en achĂšte peu, il est possible d’obtenir des tarifs plus abordables comme l’explique Quentin Je vais Ă  la fin des marchĂ©s pour trouver des fruits et lĂ©gumes au rabais. Il faut parfois nĂ©gocier. Mais, en tant qu’étudiant, je ne peux pas me permettre les prix normaux. »Direct au producteurPour Marion, une des principales raisons de ces prix chers est que l’on ne se fit plus aux saisons On s’est habituĂ© Ă  des trucs qui viennent du bout du monde. ForcĂ©ment, avec la crise, ils coĂ»tent un bras. » Sa solution ? Consommer local. La meilleure source ? Les producteurs prĂšs de chez elle. L’idĂ©e est la mĂȘme pour Nathalie, assistante maternelle qui doit faire Ă  manger tous les midis pour sept personnes, ou pour Cynthia, qui vont Ă  la cueillette PrĂšs de Vannes, il y a un producteur oĂč l’on se rend. Le client ramasse lui-mĂȘme les produits et ensuite il passe Ă  la caisse. Sans les charges de personnel, les prix au kilo sont bien infĂ©rieurs Ă  ce qu’on trouve ailleurs. »Si elle ne fait pas la cueillette elle-mĂȘme, Anne, vĂ©gĂ©tarienne, profite aussi de la vente en direct des maraĂźchers prĂšs de chez elle Du coup, je me permets d’acheter des bons fruits et lĂ©gumes bios. »Et l’accĂšs direct aux producteurs ne se limite pas Ă  ceux qui vivent Ă  la campagne. Marco explique passer par La Ruche qui dit oui » une coopĂ©rative de producteurs qui permet de commander les produits en ligne Et une fois par semaine, ils se rendent dans un endroit de Paris, il suffit de venir retirer sa commande et on a tout le frais nĂ©cessaire. » Cette solution, Riyad ne devait pas la connaĂźtre. Avec sa compagne, il a lui-mĂȘme pris les choses en main Nous avons sondĂ© nos proches et quelques voisins et nous avons dĂ©marchĂ© quelques producteurs qui, sous certaines quantitĂ©s de commandes, nous livrent une fois par semaine. » Une maniĂšre de profiter des producteurs locaux, mĂȘme lorsqu’on vit en des producteurs locaux, il pourrait y en avoir de plus en plus. Le confinement​ semble avoir donnĂ© du temps et des idĂ©es Ă  beaucoup de Français disposant d’un peu d’espace vert, comme Chantal Mon potager s’est bien dĂ©veloppĂ© et je commence Ă  avoir de tout. » Au point que certains arrivent Ă  partager et Ă©changer. Christelle, qui ne peut se contenter des lĂ©gumes de son jardin, a trouvĂ© des rĂ©seaux sur lesquels elle peut acheter les surplus d’autres particuliers. Des voisins, peut-ĂȘtre comme Solenn, dont le terrain est fertile en figues, qu’elle peut dĂ©sormais Ă©changer contre les Ɠufs de son voisin.

20Heures. Édition du mercredi 3 juillet 2019. Le secteur de la vente Ă  domicile de produits surgelĂ©s est trĂšs concurrentiel. Plusieurs acteurs du Les surgelĂ©s en FranceLes français, aussi, ont adoptĂ© les produits surgelĂ©s depuis longtemps. Aujourd’hui, ils font partie de leur consommation quotidienne en moyenne, 98,6 % des mĂ©nages en achĂštent pour un budget annuel par famille estimĂ© Ă  223 € en 2016. Au global, le marchĂ© du surgelĂ© pĂšse 9 milliards d’euros de chiffre d’affaires en France. Ce qui reprĂ©sente, en volume, prĂšs de 2 millions de tonnes de marchandises, d’aprĂšs produits brutsJouissant d’une image plus positive que les produits ultra-transformĂ©s, les produits bruts sont l’un des piliers du marchĂ© du surgelĂ© en France. Les pommes de terres – sous toutes leurs formes – arrivent en tĂȘte des ventes avec, Ă  elles seules, 20,2 % des ventes du surgelĂ© en lĂ©gumes tirent Ă©galement leur Ă©pingle du jeu puisqu’ils arrivent en deuxiĂšme position des plus importantes ventes du marchĂ© dans l’hexagone. Carottes, oignons, brocolis, choux fleur, courgettes
 Ensemble, les lĂ©gumes surgelĂ©s totalisent 19,1 % des recettes du poissons, en revanche, ne rencontrent pas le mĂȘme succĂšs. A l’exception du cabillaud, toujours plĂ©biscitĂ© par les consommateurs, les poissons surgelĂ©s ont tous accusĂ© un recul de leurs ventes en global, les produits de la mer surgelĂ©s sont en perte de vitesse entre 2014 et 2017, ils ont perdu 12,9 millions d’euros de chiffre d’affaires. Ce qui en fait le segment le plus en recul de l’univers du surgelĂ© en France ces derniĂšres constat du cĂŽtĂ© des viandes et charcuterie surgelĂ©es, qui perdent quelque peu l’attrait des consommateurs français. Entre 2014 et 2017, leurs ventes ont reculĂ© de -5,5 millions d’euros sur trois plats prĂ©parĂ©sA lui seul, le marchĂ© des plats cuisinĂ©s surgelĂ©s totalise 5 milliards d’euros de recettes en 2019. Mais sur ce segment, les tendances sont contrastĂ©es. Les pizzas surgelĂ©es ont ainsi vu leurs ventes croĂźtre de 5 % en 2016, la France Ă©tant, pour rappel, le deuxiĂšme plus gros consommateur de pays au monde derriĂšre les produits Ă  base de pommes de terre et les plats tout prĂȘts, cuits en quelques minutes, ont Ă©galement vu leurs ventes progresser respectivement de 1,5 % et 0,9 %. La plus forte progression concerne les produits apĂ©ritifs surgelĂ©s, dont les ventes ont grimpĂ© de 7,6 % sur un an, d’aprĂšs les donnĂ©es de Kantar d’autres catĂ©gories ont reculĂ© en France ces derniĂšres annĂ©es. C’est le cas notamment des produits transformĂ©s contenant de la viande bƓuf, volaille, gibier ou autre, qui ont accusĂ© un recul de -3 % en faut dire que les plats cuisinĂ©s dans l’ensemble – mais surtout ceux Ă  base de viande – souffraient jusqu’à rĂ©cemment d’une mĂ©fiance de la part des consommateurs. La raison des scandales alimentaires, dont celui de la viande de cheval dans les lasagnes, qui a Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ© au grand public en les fabricants ont su s’adapter et rĂ©pondre aux attentes des consommateurs, en durcissant par exemple leurs process de fabrication. RĂ©sultat, la confiance des consommateurs revient peu Ă  peu et 2019 s’annonce comme une annĂ©e propice au secteur. D’aprĂšs les prĂ©visions de Xerfi, les plats cuisinĂ©s surgelĂ©s devraient en effet voir leurs ventes grimper de 2,5 % sur un an, s’alignant ainsi sur la tendance – dĂ©jĂ  haussiĂšre – de pains, desserts et glacesLes glaces bĂ©nĂ©ficient d’un engouement certain de la part des consommateurs. En 2018, le chiffre d’affaires du secteur a grimpĂ© de 7,8 %, Ă  plus de 997 millions d’euros. Les desserts glacĂ©s se consomment principalement l’étĂ©, durant les fortes chaleurs, mais Ă©galement en fin d’annĂ©e avec les bĂ»ches de NoĂ«l hausse des ventes reste toutefois Ă  nuancer. En effet, les derniĂšres annĂ©es n’ont pas toujours Ă©tĂ© positives pour les glaces et desserts glacĂ©s en France. Entre 2014 et 2017, les ventes de ces produits se sont mĂȘme effondrĂ©es, accusant un repli de 5,9 millions d’ pain, quant Ă  lui, est en hausse. Une tendance qui se poursuit depuis dĂ©jĂ  plusieurs annĂ©es. pJRz.