Daunata sorti en 2020 une nouvelle gamme de sandwichs sous la marque Bien fait. ©Daunat Daunat aura été la locomotive du marché du snacking en 2021. La marque du groupe agroalimentaire rennais Norac qui élabore des sandwiches, wraps, clubs, salades repas, présente des ventes en hausse de 31% entre janvier et octobre 2021 selon les données du panel Iri, sur
Le marchĂ© des produits surgelĂ©s reprend des couleurs 000215 En 2013, quand certains industriels nous ont servi de la viande de cheval Ă la place de la viande de bĆuf, les ventes de plats surgelĂ©s prĂ©parĂ©s se sont littĂ©ralement effondrĂ©es une chute de 10%. C'est normal, on n'avait plus confiance. Les Français ont passĂ© leur chemin, sans s'arrĂȘter devant les congĂ©lateurs des magasins. MĂȘme les lĂ©gumes et les poissons ont pĂąti de cette dĂ©saffection. Depuis, nous sommes revenus dans les rayons. Aujourd'hui, 98% des foyers français achĂštent des produits surgelĂ©s. Ils ont l'avantage d'ĂȘtre pratiques Ă prĂ©parer. En plus, ils conservent les qualitĂ©s nutritionnelles des aliments. Surtout, comme ce sont des produits qui se gardent longtemps, cela dĂ©panne dernier, le marchĂ© a retrouvĂ© une certaine vigueur. On a achetĂ© prĂšs d'un million de tonnes de produits surgelĂ©s. Ce qui se vend le plus, ce sont toujours les plats cuisinĂ©s ils reprĂ©sentent aujourd'hui 22% des achats de produits surgelĂ©s. Ils arrivent devant les prĂ©parations Ă base de pomme de terre et les lĂ©gumes congelĂ©s. Les glaces, un marchĂ© innovantMais les catĂ©gories qui progressent beaucoup, ce sont les entrĂ©es, comme les quiches et les tourtes, et aussi les pizzas. Viennent ensuite les viandes et les poissons congelĂ©s. Enfin, on trouve les desserts dont les ventes ne cessent d'augmenter. Quid des glaces ? C'est un marchĂ© Ă part qui innove beaucoup. Chaque annĂ©e, on se laisse tenter par de nouveaux parfums, de nouvelles textures et de nouveaux mĂ©langes. On en mange prĂšs de 6 litres par an et par habitant. Mais en rĂ©alitĂ©, nous sommes de petits mangeurs de glaces, comparĂ©s Ă nos voisins. Les champions europĂ©ens sont les Scandinaves ils en mangent deux fois plus que nous. Dans le grand Nord, ils adorent les glaces. Ă croire que quand il fait -30°C, les glaces Ă moins 18°C, ça rĂ©chauffe. LâactualitĂ© par la rĂ©daction de RTL dans votre boĂźte mail. GrĂące Ă votre compte RTL abonnez-vous Ă la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualitĂ© au quotidien Sâabonner Ă la Newsletter RTL Info
Sila mĂ©tĂ©o atypique a impactĂ© le marchĂ© cette saison, lâoffre continue de booster le rayon des surgelĂ©s. La profondeur des gammes et la dĂ©marche dâinnovation menĂ©e par lâensemble des industriels permettent aux glaces de poursuivre depuis 10 ans leur croissance de fond : +2,9% de chiffre dâaffaires, en moyenne par an, bien au-delĂ de la moyenne annuelle du
PubliĂ© le 24 nov. 2016 Ă 101S'aventurant pour la premiĂšre fois en Asie, la chaĂźne française de produits surgelĂ©s Picard a inaugurĂ© mercredi dans un quartier chic de Tokyo une petite boutique en partenariat avec le gĂ©ant japonais de la distribution Aeon. En fin de matinĂ©e, une soixantaine de clients faisaient dĂ©jĂ la queue devant le magasin qui doit servir de base Ă l'expansion de la marque dans un pays obsĂ©dĂ© par la fraĂźcheur de son alimentation et les circuits alimentaires de proximitĂ©. Nous ne venons pas remplacer des produits japonais, mais proposer des Ă©lĂ©ments complĂ©mentaires dans ce pays qui vĂ©nĂšre la qualitĂ© et la sĂ©curitĂ© alimentaires », explique Stefano Moretti, directeur international de Picard, qui prĂ©parait cette ouverture depuis deux 2014, le groupe français, qui opĂšre dĂ©jĂ une centaine de magasins hors de France mais exclusivement en Europe, a commencĂ© Ă tester sa gamme dans des espaces amĂ©nagĂ©s au sein de plusieurs supermarchĂ©s Aeon de l'agglomĂ©ration de Tokyo. Il a ainsi pu analyser les modes de consommation, faire le tri dans son portefeuille de produits et affiner sa stratĂ©gie prix. Deux mi-cuits au chocolat sont ainsi proposĂ©s Ă 735 yens 6 euros, contre 3,50 euros en France. Ce qui marche trĂšs fort, ce sont les foies gras, les croissants, les petits fours et les pizzas Margherita », note Michiko Ono, la prĂ©sidente d'Aeon Saveur, la filiale d'Aeon qui va opĂ©rer les boutiques japonaises de la marque la fin de l'annĂ©e, deux autres ouvertures sont annoncĂ©es dans des quartiers chics de la capitale. Le marchĂ© du surgelĂ© progresse au Japon avec l'Ă©volution des besoins des consommateurs », explique la responsable, qui pointe la hausse du taux d'emploi des femmes ou le vieillissement de la population. Ce que l'on remarque, c'est que la marque Picard draine surtout une clientĂšle transgĂ©nĂ©rationnelle de gourmets amateurs de gastronomie française. »ExpĂ©rimenter de nouveaux goĂ»tsCultivant au maximum cette fascination nippone pour le savoir-vivre français, Picard a dĂ©corĂ© son magasin de panneaux en français et n'a pas modifiĂ© les emballages de ses produits. Seule une petite Ă©tiquette en japonais collĂ©e aux dos des aliments permet au consommateur de comprendre le contenu de sa pissaladiĂšre, de son potage minestrone ou de ses escargots de Bourgogne, belle grosseur ». On veut s'imposer comme ce petit mets exotique que de plus en plus de familles ou de couples s'autorisent Ă cĂŽtĂ© d'un plat cuisinĂ© traditionnel japonais », insiste Stefano groupe veut d'ailleurs que ses premiers magasins servent Ă faire expĂ©rimenter ces nouveaux goĂ»ts et Ă mieux faire comprendre les avantages qualitatifs du surgelĂ©. On va organiser Ă©normĂ©ment de dĂ©gustations », souffle le cadre qui dĂ©taille aussi les prĂ©cautions prises pour respecter les rĂšgles de la chaĂźne du froid. Les produits Picard voyagent ainsi pendant trente-cinq jours entre la France et le Japon par bateau dans des conteneurs rĂ©frigĂ©rĂ©s, dont le groupe peut suivre Ă la minute la tempĂ©rature. Ils sont ensuite inspectĂ©s pendant plusieurs jours par les douanes cet effort pĂ©dagogique, Picard espĂšre progressivement construire sa marque dans l'Archipel avant d'envisager une conquĂȘte d'autres marchĂ©s asiatiques. Beaucoup de grands distributeurs nous ont dĂ©jĂ contactĂ©s en Asie, mais nous voulons travailler avec Aeon, qui a construit un rĂ©seau trĂšs fort dans la rĂ©gion », assure le directeur affronter la montĂ©e des incertitudes ?Inflation, hausse des taux dâintĂ©rĂȘt, Ukraine et maintenant incertitude politique, les chocs se multiplient. Pour Ă©voluer dans un environnement de plus en plus complexe, lâexpertise de la rĂ©daction des Echos est prĂ©cieuse. Chaque jour, nos enquĂȘtes, analyses, chroniques et Ă©dito accompagnent nos abonnĂ©s, les aident Ă comprendre les changements qui transforment notre monde et les prĂ©parent Ă prendre les meilleures dĂ©couvre les offres
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Surfond de pandĂ©mie, les ventes de surgelĂ©s ont connu une croissance historique sur le marchĂ© de la consommation Ă domicile en 2020. Florent Chatir, Business Development Manager chez Kantar dresse le bilan des Ă©lĂ©ments clĂ©s Ă
J'affiche cette stat sur mon site ! Consommation de plats cuisinĂ©s par les Français Infos complementairesLes Français consomment 119 grammes de plats cuisinĂ©s par jour en moyenne. On consomme 22 kilos de plats cuisinĂ©s chaque seconde en France compteur ; autrement dit 700 millions de kilos de plats cuisinĂ©s sont achetĂ©s chaque annĂ©e pour un chiffre d'affaires de 3 milliards d'euros et 4 % du budget alimentaire hors restauration en 2014. Depuis le 1er janvier Chargement ... Depuis que vous ĂȘtes connectĂ© Chargement ... . La consommation de plats cuisinĂ©s La consommation de plats prĂ©parĂ©s en France 4 % Les Français consacrent 4 % de leur budget alimentaire hors restauration, hors foyer aux plats prĂ©parĂ©s en 2014. Les plats cuisinĂ©s Ă base de viande reprĂ©sentent 38 % de ce budget ; les pizzas, quiches et tourtes, 27 % ; les plats cuisinĂ©s Ă base de fruits de mer et de poissons, 20 %. +4,4 % Selon l'INSEE, c'est la croissance moyenne annuelle par habitant de la consommation de plats prĂ©parĂ©s en France entre 1960 et 2014 0,9 % en 1960 ; 2,9 % en 1990 ; 3,9 % en 2014. Le chiffre dâaffaires des plats prĂ©parĂ©s en France 400 000 000 En 2016, le chiffre dâaffaires des plats prĂ©parĂ©s Ă atteint 400 millions dâeuros en France. En 2016,14 millions de foyers français ont achetĂ© au moins une fois une barquette de plats prĂ©parĂ©s. La part du budget consacrĂ© aux plats prĂ©parĂ©s diminue avec l'Ăąge prĂšs de 5 % pour les moins de 35 ans contre 3 % pour les 65 ans et plus. De 2008 Ă 2011, la part du budget consacrĂ© aux plats cuisinĂ©s par les mĂ©nages français a Ă©tĂ© de 4 % soit 3 milliards d'euros. 110 La consommation de plats prĂ©parĂ©s en France reprĂ©sente 110 ⏠par mĂ©nage et par an. -26 % Le temps consacrĂ© par les Français Ă la prĂ©paration du repas a diminuĂ© de 26 % entre 1986 et 2010. 12 % Entre 1960 et 2006, la part du budget des mĂ©nages consacrĂ©s Ă l'alimentation est passĂ©e de 24,5 % Ă 12,5 %. Les ventes de plats cuisinĂ©s en France + 5 % La consommation par habitant de plats cuisinĂ©s a cru de 5,5 % par an en moyenne de 1960 Ă 1980, puis de 5 % de 1980 Ă 2001. Une cassure s'est produite dans cette croissance en 2013 source Agrimer 80 % Plus de 80 % des foyers français achĂštent au moins une fois dans l'annĂ©e une pizza, une quiche ou une tourte pour leur consommation Ă domicile. 119 g Un Français consomme en moyenne 119 grammes de plats cuisinĂ©s par jour. La consommation de plats cuisinĂ©s n'est pas franchement une bonne nouvelle, ni pour la santĂ© ni pour l'environnement. Mais en 2013, suite au scandale de la viande de cheval trouvĂ©e dans des lasagnes, les ventes de plats surgelĂ©s Ă base de bĆuf ont chutĂ© de prĂšs de 50%. Cette chute brutale met un terme Ă une tendance Ă la hausse du marchĂ© en effet la consommation par habitant de plats cuisinĂ©s augmentait de 5,5 % par an jusqu'alors. La dĂ©fiance s'est installĂ©e entre les Français et les plats prĂ©parĂ©s. 22 kilos par seconde câest la quantitĂ© de plats cuisinĂ©s achetĂ©s en France. Sur un an, cela Ă©quivaut Ă 700 millions de kilos, pour un chiffre dâaffaires Ă©quivalent Ă 3,3 milliards dâeuros. Soit une augmentation de +24% entre 2004 et 2007. Selon un Ă©tude de lâInpes institut national de prĂ©vention et dâĂ©ducation pour la santĂ© parue en avril 2010, la proportion de personnes dĂ©clarant avoir consommĂ© un plat tout prĂȘt au moins une fois par semaine a nettement augmentĂ©, passant de 32,2% en 2002 Ă 47,3% en 2008. Les seniors seraient les plus gros mangeurs de plats prĂ©parĂ©s en Europe, Français en tĂȘte. Câest ce quâindique un rapport rĂ©alisĂ© en 2005 par le cabinet dâĂ©tudes anglo-amĂ©ricain Datamonitor. Les plus de 55 ans reprĂ©senteraient plus du quart du chiffre dâaffaires du marchĂ© des plats cuisinĂ©s en Europe et 40% en incluant les 45-54 ans. Les 25-34 ans et les 35-44 ans reprĂ©sentent respectivement 19 et 22%. 70 % Le marchĂ© des plats prĂ©parĂ©s rĂ©alise 70% de ses ventes en grande distribution. Le secteur des plats cuisinĂ©s appertisĂ©s, autrement dit des conserves, a rĂ©alisĂ© en 2005 un chiffre dâaffaires estimĂ© Ă 880 millions dâeuros pour 405600 tonnes. Celui des produits traiteurs frais est de 632 500 tonnes, dont 108 000 tonnes en restauration hors domicile, pour un chiffre dâaffaires de 2,9 milliards dâeuros. Les plats cuisinĂ©s surgelĂ©s reprĂ©sentent quant Ă eux un marchĂ©, tous canaux de distribution confondus et pour la consommation Ă domicile uniquement, de 223 000 tonnes en volume. source Sutralis Le consommateur Français, au mode de vie plus urbain et pressĂ©, renonce de plus en plus aux modes de cuisson traditionnels en faveur de produits, surgelĂ©s ou prĂȘts Ă l'emploi, rapides et faciles Ă prĂ©parer pour une cuisine accessible Ă tous. Plusieurs facteurs conduisent Ă limiter le temps de prĂ©paration des repas et Ă favoriser la consommation de produits Ă©laborĂ©s l'activitĂ© fĂ©minine se dĂ©veloppe, les trajets domicile-travail s'allongent, le temps consacrĂ© aux activitĂ©s de loisirs s'accroĂźt, le pouvoir d'achat augmente. Au milieu des annĂ©es 1990, il fallait, en Europe occidentale, une heure en moyenne pour prĂ©parer le repas, contre trente minutes aujourd'hui. La fabrication des plats cuisinĂ©s est en effet une source de surconsommation d'Ă©nergie bien supĂ©rieure Ă celle de la consommation de plats non prĂ©parĂ©s. L'emballage des plats cuisinĂ©s pose Ă©galement un problĂšme mais beaucoup de fabricants français de salades, carottes, ... en barquette s'engagent Ă rĂ©duire de 10% leurs emballages pour poursuivre la diminuition du poids dĂ©jĂ engagĂ© le poids moyen d'une barquette plastique a baissĂ© de 4% Les plats prĂ©parĂ©s sont Ă consommer avec modĂ©ration - acides gras trans utilisĂ©s comme stabilisateurs afin de rendre les aliments plus fermes et moins rapides au rencissement. On les appelle aussi des huiles partiellement hydrogĂ©nĂ©es et on les trouve en grande quantitĂ© dans les viennoiseries, les pizzas, les quiches, des margarines, des barres chocolatĂ©es - colorants en tous genres, - sel en excĂšs, SEL toujours trop dans notre alimentation - arĂŽmes dont on ne connaĂźt pas l'inocuitĂ©, .... Les plats cuisinĂ©s sont Ă consommer comme aliments de dĂ©pannage et non tous les jours. En Californie, le gouverneur Arnold Schwarzeneger les a banni des Ă©coles et des restaurants de l'Etat. En France, l'Afssa devrait limiter lateneru en acides gras trans de 1 gramme pour 100 gr. de produit. Le marchĂ© des produits surgelĂ©s a augmentĂ© de 17% en 10 ans. Cette consommation est quasiment universelle, dans la mesure oĂč en 1998, 95% des Français ont consommĂ© des produits surgelĂ©s, et chaque Français en a consommĂ© en moyenne 30 Kg . Cette consommation est essentiellement familiale. Conservant les qualitĂ©s nutritionnelles et gustatives, pratiques, faciles Ă prĂ©parer, variĂ©s, tant dans les recettes que dans les conditionnements, les produits surgelĂ©s sâintĂšgrent bien dans les nouvelles habitudes alimentaires. Trouver des conseils diĂ©tĂ©tiques Voir Le dossier Alimentation SOURCES -
Placedu Marché La Selle en Luitré Livraison à domicile de surgelés Vente de surgelés : horaires, avis, retrouvez les coordonnées et informations sur le professionnel
Cet article date de plus de trois ans. PubliĂ© le 03/07/2019 2151 Mis Ă jour le 03/07/2019 2252 DurĂ©e de la vidĂ©o 3 min. FRANCE 2 Article rĂ©digĂ© par Le secteur de la vente Ă domicile de produits surgelĂ©s est trĂšs concurrentiel. Plusieurs acteurs du marchĂ© rencontrent des difficultĂ©s. Les clients se font de plus en plus rares. Les acteurs du marchĂ© de la vente Ă domicile de produits surgelĂ©s accusent des pertes de chiffre d'affaires de -4 Ă -10%. En cause une clientĂšle rurale et vieillissante que les professionnels n'ont pas su renouveler. Une activitĂ© qui tourne au ralenti, concurrencĂ©e par des enseignes spĂ©cialisĂ©es dans le surgelĂ©. "Depuis dix Ă quinze ans, on voit bien que ces enseignes sont en train de mailler le territoire et se retrouve aujourd'hui dans des plus petites villes. Donc ça rend moins indispensable le fait de se faire livrer Ă domicile", analyse Olivier Dauvers, expert en grande consommation. Un pot de glace vanille par exemple se vend dans une grande surface 4,68 ⏠le litre. Chez un livreur spĂ©cialisĂ©, il sera affichĂ© Ă 5,28 âŹ, soit 12% plus cher. Et la diffĂ©rence peut ĂȘtre encore plus Ă©levĂ©e sur d'autres produits. Alors, les entreprises du secteur tentent de conquĂ©rir une nouvelle clientĂšle, plus jeune.
Appeld'offre n°3/boamp/20118744 : Achat de produits carnés surgelés ou congelésForme de marché : à bons de commande avec maximum. Attribution d'un marché unique. Accord-cadre conclu pour une période initiale de 1 an à compter du 01/01/2021 jusqu'au 31/12/2021. Montant total des prestations pour la période initiale de l'accord-cadre
Le boom de la vente de surgelĂ©s nâa pas profitĂ© Ă tous les circuits ni Ă toutes les enseignes. Drives, freezer centers et proximitĂ© ont surperformĂ©. Hard discount et grands hypers, eux, ont souffert. Pour vivre heureux, vivons cachĂ©s. » La devise colle bien aux enseignes de freezer centers, experts en bouche cousue quand il sâagit de parler Ă la presse. On aurait pu penser que leurs trĂšs bonnes performances en 2020 les auraient incitĂ© Ă prendre la parole. Il nâen est rien. Ă dĂ©faut de commentaires, restent donc les chiffres. Et ils sont Ă©loquents sur les produits de la mer +17 % pour Picard, le leader, et +23 % pour Thiriet, son challenger. Les donnĂ©es dĂ©taillĂ©es de Kantar Worldpanel permettent de comprendre les raisons de ce succĂšs. Les deux enseignes sont restĂ©es quasi stables au niveau de la frĂ©quence dâachat. Leur taux de pĂ©nĂ©tration a progressĂ© de 8 %. En fait, câest surtout lâaugmentation des budgets dâachat, dĂ©sormais Ă quasiment 50 euros de produits de la mer par client et par an, qui expliquent leurs performances sur lâannĂ©e Ă©coulĂ©e. Cela tient en particulier Ă la typologie de clientĂšle de cesmagasins spĂ©cialisĂ©s situĂ©s gĂ©nĂ©ralement en zones urbaines des mĂ©nages plutĂŽt aisĂ©s et plutĂŽt ĂągĂ©s. Au global, lâensemble des enseignes de freezer centers rĂ©alise 28,4 % des ventes de produits de la mer surgelĂ©s dans lâHexagone. Le chiffre serait mĂȘme supĂ©rieur sans les difficultĂ©s structurelles de Toupargel depuis 2019 dont la part de marchĂ© ne cesse de sâĂ©roder. Le succĂšs du circuit incite un nombre croissant de fournisseurs Ă sây intĂ©resser. Notamment ceux qui ne peuvent plus travailler avec la restauration hors foyer. Chez Amiets Seafood, Florian Coupel est en particulier convaincu que les freezer centers ont une carte Ă jouer pour valoriser une offre de coquillages Regardez le succĂšs des moules de bouchot entiĂšres prĂ©cuites en sachet 800 grammes chez Thiriet. » Et le fournisseur de se projeter sur les pieds de couteaux, une espĂšce Ă laquelle il croit beaucoup, en particulier en raison de son prix stable et attractif, Ă moins de 4 âŹ/kg. FocalisĂ© lui aussi sur une offre Ă marque propre, le hard discount a connu une annĂ©e Ă lâopposĂ© de celle des freezer centers. Aldi, Lidl et consorts ont terminĂ© 2020 avec unchiffre dâaffaires sur les produits de la mer surgelĂ©s en chute de 14,4 %. La faute, sans doute, Ă des assortiments limitĂ©s tandis que les Français Ă©taient en recherche de choix et de variĂ©tĂ©. ConsĂ©quence la part de marchĂ© des maxidiscompteurs sur la catĂ©gorie nâest plus que de 9,2 % en valeur. Du cĂŽtĂ© des distributeurs gĂ©nĂ©ralistes, lĂ aussi, la situation est contrastĂ©e. Le premier Ă©lĂ©ment Ă noter est Ă©videmment lâexplosion des ventes dans les drives. Les quelque 5 000 points de retraits hexagonaux, essentiellement des pistes autos, mais aussi quelques centaines de drives piĂ©tons ou de casiers, ont enregistrĂ© des ventes de produits de la mer surgelĂ©s en hausse de 58 %, soit dĂ©sormais 6,9 % de part de marchĂ©. La tendance en faveur du drive Ă©tait dĂ©jĂ prĂ©sente depuis plusieurs annĂ©es mais la crise du Covid lui a clairement donnĂ© un extraordinaire coup dâaccĂ©lĂ©rateur. La plupart des observateurs sâaccordent en outre sur le fait que nombre de consommateurs qui ont dĂ©couvert le drive pour ses vertus sanitaires » ont Ă©galement apprĂ©ciĂ© ses atouts de praticitĂ© et de rapiditĂ©. Selon Kantar, le taux de pĂ©nĂ©tration de lâe-commerce alimentaire atteint dĂ©sormais 13,5 %, soit 4,5 points grappillĂ©s en deux ans. Les enseignes de proximitĂ©, comme dâailleurs les poissonneries indĂ©pendantes au passage, ont bien tirĂ© leur Ă©pingle du jeu au cours de lâannĂ©e 2020. Leurs ventes de produits de la mer surgelĂ©s ont progressĂ© de 25 %, ce qui leur confĂšre dĂ©sormais 4,9 % de parts de marchĂ©. Tout sâest passĂ© comme si les Français, restant davantage Ă la maison, avec beaucoup moins de trajet domicile-travail, avaient redĂ©couvert les petits commerces prĂšs de chez eux. Le mĂȘme phĂ©nomĂšne rejaillit Ă©videmment sur les hypermarchĂ©s. Les plus grands dâentre eux ont Ă©tĂ© Ă la peine, non seulement en raison de leur implantation, souvent au coeur de grandes zones commerciales, mais aussi de la fermeture temporaire des rayons non-essentiels. Cette mesure a rĂ©duit significativement leur attractivitĂ© Ă la fin de lâautomne, une pĂ©riode qui leur est traditionnellement trĂšs favorable. Au sein du groupe Auchan, par exemple, les 136 hypermarchĂ©s 10 300 mÂČ de surface moyenne par magasin, record national ont dĂ» se contenter dâun maigre +2,9 % sur les produits de la mer surgelĂ©s. Alors que dans le mĂȘme temps, les 276 supermarchĂ©s du groupe affichaient un flatteur +17 % sur le mĂȘme pĂ©rimĂštre. Bertrand GOBIN Retrouvez lâintĂ©gralitĂ© du dossier surgelĂ© dans le PDM 206 dâavril-mai 5 pages, et sur ce site, en accĂšs abonnĂ©.
LEMARCHĂ ET LA FABRICATION DE PRODUITS SURGELĂS SALĂS LES POINTS FORTS DE L'ĂTUDE : L'analyse conjoncturelle et les tendances du secteur Les prĂ©visions exclusives pour 2021 et tous les chiffres pour analyser le secteur et son marchĂ© La capacitĂ© des entreprises du secteur Ă surmonter la crise sur la base d'un dispositif exclusif de scoring
PubliĂ© le 23 nov. 2016 Ă 1801Sâaventurant pour la premiĂšre fois en Asie, la chaĂźne française de produits surgelĂ©s Picard a inaugurĂ© mercredi dans un quartier chic de Tokyo une petite boutique en partenariat avec le gĂ©ant japonais de la distribution Aeon. En fin de matinĂ©e, une soixantaine de clients Âfaisaient dĂ©jĂ la queue devant le magasin qui doit servir de base Ă lâexpansion de la marque dans un pays obsĂ©dĂ© par la fraĂźcheur de son alimentation et les circuits alimentaires de proximitĂ©. Nous ne venons pas remplacer des produits japonais, mais proposer des Ă©lĂ©ments complĂ©mentaires dans ce pays qui vĂ©nĂšre la qualitĂ© et la sĂ©curitĂ© alimentaire », explique Stefano Moretti, directeur international de Picard, qui prĂ©parait cette ouverture depuis deux 2014, le groupe français, qui opĂšre dĂ©jĂ une centaine de magasins hors de France mais exclusivement en Europe, a commencĂ© Ă Âtester sa gamme dans des espaces amĂ©nagĂ©s au sein de plusieurs supermarchĂ©s Aeon de lâagglomĂ©ration de Tokyo. Il a ainsi pu anaÂlyser les modes de consommation, faire le tri dans son portefeuille de produits et affiner sa stratĂ©gie prix. Deux mi-cuits au chocolat sont ainsi proposĂ©s Ă 735 yens 6 euros, contre 3,50 euros en France. Ce qui marche trĂšs fort, ce sont les foies gras, les croissants, les petits fours et les pizzas Margherita », note Michiko Ono, la prĂ©sidente dâAeon Saveur, la filiale dâAeon qui va opĂ©rer les boutiques japonaises de la marque de nouveaux goĂ»tsAvant la fin de lâannĂ©e, deux autres ouvertures sont annoncĂ©es dans des quartiers chics de la capitale. Le marchĂ© du surgelĂ© progresse au Japon avec lâĂ©volution des besoins des consommateurs », explique la responsable, qui pointe la hausse du taux dâemploi des femmes ou le vieillissement de la population. Ce que lâon remarque, câest que la marque Picard draine surtout une clientĂšle transgĂ©nĂ©rationnelle de gourmets amateurs de gastronomie française. »Cultivant au maximum cette fascination nippone pour le savoir-vivre français, Picard a dĂ©corĂ© son magasin de panneaux en français et nâa pas modifiĂ© les emballages de ses produits. Seule une petite Ă©tiquette en japonais collĂ©e aux dos des aliments permet au consommateur de comprendre le contenu de sa ÂpissaladiĂšre, de son potage minestrone ou de ses escargots de Bourgogne, belle grosseur ». On veut sâimposer comme ce petit met exotique que de plus en plus de familles ou de couples sâautorisent aux cĂŽtĂ©s dâun plat cuisinĂ© traditionnel japonais », insiste Stefano dĂ©gustationsLe groupe veut dâailleurs que ses premiers magasins servent Ă faire expĂ©rimenter ces nouveaux goĂ»ts et Ă mieux faire comprendre les avantages qualitatifs du surgelĂ©. On va organiser Ă©normĂ©ment de dĂ©gustations », souffle le cadre qui dĂ©taille aussi les prĂ©cautions prises pour respecter les rĂšgles de la chaĂźne du froid. Les produits Picard voyagent ainsi pendant trente-cinq jours entre la France et Japon par bateau dans des conteneurs rĂ©frigĂ©rĂ©s, dont le groupe peut suivre Ă la minute la tempĂ©rature. Ils sont ensuite inspectĂ©s pendant plusieurs jours par les douanes cet effort pĂ©dagogique, Picard espĂšre progressivement construire sa marque dans lâArchipel avant dâenvisager une conquĂȘte dâautres marchĂ©s asiatiques. Beaucoup de grands distributeurs nous ont dĂ©jĂ contactĂ©s en Asie, mais nous voulons travailler avec Aeon, qui a construit un rĂ©seau trĂšs fort dans la rĂ©gion », assure le directeur international. Comment affronter la montĂ©e des incertitudes ?Inflation, hausse des taux dâintĂ©rĂȘt, Ukraine et maintenant incertitude politique, les chocs se multiplient. Pour Ă©voluer dans un environnement de plus en plus complexe, lâexpertise de la rĂ©daction des Echos est prĂ©cieuse. Chaque jour, nos enquĂȘtes, analyses, chroniques et Ă©dito accompagnent nos abonnĂ©s, les aident Ă comprendre les changements qui transforment notre monde et les prĂ©parent Ă prendre les meilleures dĂ©couvre les offres
Lacarotte belge bien installĂ©e sur le marchĂ© français. La France a produit 77% de sa consommation de carottes en 2020. A noter que la Belgique exporte 70 % de sa production vers la France. La France en revanche, nâexportait que 13% de sa production, soit 71 000 tonnes en 2020. Les exportations sont baissiĂšres depuis plusieurs annĂ©es.
Société Depuis le début de la crise sanitaire, entre le confinement et le couvre-feu, les ventes de produits surgelés ont augmenté, rapporte Le Parisien ». En grande surface, les ventes de produits surgelés ont augmenté de 11,6 %, dans les magasins spécialisés, la hausse est de l'ordre de 29 %. © TORU YAMANAKA / AFP Le coronavirus a transformé le mode de vie des Français et leurs interactions sociales. Il a aussi modifié leurs habitudes de consommation. Des changements qui se reflÚtent dans leurs paniers de courses il y a davantage de produits surgelés. Depuis le début de la crise sanitaire, les Français font en effet de plus en plus confiance à ce type de produits. Et cela ne concerne pas que les pizzas surgelées ou les autres plats préparés, mais aussi les légumes prédécoupés, la viande ou le poisson, rapporte Le en grande surface, les ventes de produits surgelés ont connu un boom à + 11,6 % en 2020 », souligne Emily Mayer, spécialiste des produits de grande consommation à l'institut IRI citée par le quotidien. Les magasins spécialisés se frottent les mains. Pour eux, l'augmentation grimpe à + 29 %. Le coronavirus leur a aussi permis d'élargir leur clientÚle. Thiriet a gagné 400 000 clients, Picard 500 surgelés rassurent d'un point de vue sanitaireCe nouvel engouement pour les surgelés s'est dégagé dÚs le premier confinement. Ces produits ont un cÎté rassurant d'un point de vue sanitaire pour le consommateur, surtout en période de Covid, puisqu'ils sont beaucoup moins manipulés que des courgettes dans un bac à légumes, par LIRE AUSSIDepuis l'annonce du couvre-feu, les ventes de biÚres explosentMais les surgelés ont aussi un cÎté pratique. Ils sont faciles et rapides à cuisiner. Et, surtout, ils ont des dates de péremption plus longues, permettant de faire des stocks pour quelques jours et d'éviter de se ruer dans les supermarchés avant le couvre-feu de 18 heures. Le plus ils limitent, aussi, le gaspillage. Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimité Vous lisez actuellement Covid-19 les surgelés ont la cote depuis le premier confinement 7 Commentaires Commenter Vous ne pouvez plus réagir aux articles suite à la soumission de contributions ne répondant pas à la charte de modération du Point. Vous ne pouvez plus réagir aux articles suite à la soumission de contributions ne répondant pas à la charte de modération du Point.
LesMarchés. 25 août 2022. Retrouvez les principaux articles sur l'épizootie d' influenza aviaire hautement pathogÚne H5N1 de la saison 2022/23 (à compter du 1 er août 2022) dans ce dossier. Nos dossiers précédents sont toujours disponibles, la saison 2021/2022 et la saison 2020/2021. Ci-dessous, la carte des cas réalisée par nos
Renouer avec la confiance des consommateurs, amateurs de saumons frais et fumé⊠C'est ce que propose le groupe Mowi anciennement Marine Harvest en lançant la gamme premium Mowi Pure, soit des saumons issus d'une nouvelle souche aux caractĂ©ristiques exceptionnelles, commercialisĂ©s en frais emballĂ© et en que, sur le marchĂ© français, la catĂ©gorie saumon frais ou fumĂ© a perdu, au cours des 6 derniĂšres annĂ©es, un quart de ses volumes et 1 million de ses consommateurs notamment des jeunes, le groupe Mowi anciennement Marine Harvest monte au crĂ©neau avec une stratĂ©gie inĂ©dite. » En tant que leader mondial dans la production du saumon - matiĂšre premiĂšre, il nous fallait rĂ©agir au plus vite , affirme Gabriel Chabert, directeur marketing Mowi Pure France. » Nous avons d'abord lancĂ© une marque mondiale, la premiĂšre marque commune Ă tous nos marchĂ©s, intitulĂ©e en France Mowi Pure pour les circuits de la grande distribution et Mowi SuprĂȘme pour la restauration. Et nous avons mis en oeuvre une nouvelle souche de saumon aux caractĂ©ristiques exceptionnelles. En France, la moitiĂ© des produits Kritsen passera sous cette nouvelle marque et sera fabriquĂ©e Ă partir de cette souche. L'autre moitiĂ© saumon sauvage, truite, tartinables et terrines sera issue de la matiĂšre premiĂšre d'origine, plus standard, et conservera sa marque de commercialisation, Kritsen. IntĂ©grer et maĂźtriser toutes les Ă©tapes Souhaitant, Ă travers cette marque, offrir un saumon exceptionnel et unique, le groupe Mowi a fait le choix de maĂźtriser toutes les Ă©tapes de production et de transformation et d'y apporter un soin encore plus optimisĂ© qu'auparavant. La souche exceptionnelle mise en oeuvre, plus robuste, est notamment issue de ses propres laboratoires. Elle est Ă©levĂ©e en NorvĂšge, dans 6 fermes habilitĂ©es, sĂ©lectionnĂ©es parmi la centaine de fermes du groupe. Les critĂšres de sĂ©lection Ă©tant, par exemple, la qualitĂ© de l'eau, qui doit ĂȘtre trĂšs pure, avec suffisamment de courant, limpide et relativement stable en tempĂ©rature entre l'Ă©tĂ© et l'hiver. ComposĂ©e trĂšs simplement de petits poissons de pĂȘche, de cĂ©rĂ©ales et de vitamines, l'alimentation est produite, depuis quatre ans, dans une des usines du groupe en NorvĂšge et, depuis un an, dans une nouvelle usine en Ecosse. Elle est Ă©galement trĂšs spĂ©cifique dans la mesure oĂč, dans les deux usines, les petits poissons sont nettoyĂ©s par un procĂ©dĂ© de centrifugation qui permet d'Ă©liminer 90 % des traces de polluants. » Nous avons souhaitĂ© aller plus loin que la rĂ©glementation qui, pourtant, nous garantissait que les traces de polluants mesurĂ©es sur nos saumons n'Ă©taient pas toxiques pour l'homme , ajoute Gabriel Chabert. RĂ©pondre aux attentes des consommateurs » Avec notre nouvelle offre, positionnĂ©e d'emblĂ©e en haut de gamme, et donc d'un prix plus Ă©levĂ© que celui d'un produit standard, nous avons surtout cherchĂ© Ă rĂ©pondre aux attentes les plus actuelles des consommateurs. Le goĂ»t, bien sĂ»r. Le saumon ainsi obtenu est plus savoureux, sa couleur plus intense, sa chair plus ferme et surtout plus riche en omĂ©gas 3. La durabilitĂ© des produits est aussi une forte demande. Chacune des rĂ©fĂ©rences proposĂ©es porte un label de durabilitĂ©. Elle est aussi tracĂ©e, c'est-Ă -dire trĂšs transparente sur ses origines. En saumon frais, Mowi Pure ne propose que les meilleurs morceaux. 5 rĂ©fĂ©rences sont disponibles depuis le 9 mars dernier le Saku, un pavĂ© de forme cubique inspirĂ©e d'une dĂ©coupe japonaise une dĂ©coupe trĂšs premium, prĂ©sentĂ© Ă l'unitĂ© ou en deux portions PVC recommandĂ© 5,95 ⏠l'unitĂ©, 11,90 ⏠le x 2 ; le PavĂ© Royal, une dĂ©coupe classique qui Ă©limine les parties les plus fines prĂ©sentĂ©e dans une barquette proportionnĂ©e en 4 compartiments 16,95 ⏠; les Portions Minute, des petites parts de 45 g à » snacker quelques minutes Ă la poĂȘle 6,95 ⏠; et le Baron, la piĂšce la plus qualitative de la gamme 9,30 ⏠les 200 g. L'ensemble de ces rĂ©fĂ©rences Ă©tant prĂ©sentĂ© dans des emballages entiĂšrement transparents, mettant en valeur la qualitĂ© des produits. En saumon fumĂ©, Mowi Pure exploite son expertise dĂ©jĂ trĂšs qualitative une fumaison lente, aux copeaux de bois de hĂȘtre, pas de raidissement pour le tranchage, du salage au sel sec⊠En y ajoutant, un temps de maturation de 2, 3 voire 4 jours aprĂšs le fumage, mais avant le tranchage. Et elle va plus loin avec un conditionnement » rupturiste , en tout cas inĂ©dit sur ce marchĂ©. A ouverture facile, la barquette ne sera pas sous vide, donc les tranches ne seront pas Ă©crasĂ©es. Et le fond de la barquette sera en forme d'escalier. Ainsi, bien dĂ©limitĂ©es, les tranches seront plus faciles Ă extraire. A noter que, d'ici un an, les barquettes devraient ĂȘtre en plastique recyclĂ©. Sept rĂ©fĂ©rences sont dores et dĂ©jĂ disponibles en 4 et 6 tranches, NorvĂšge PVC recommandĂ© de 5,79 ⏠les 4T, 7,99 ⏠les 6T, Ecosse 5,99 ⏠les 4T, 8,49 ⏠les 6T et Bio 6,99 ⏠les 4T, 9,99 ⏠les 6T, et Tradition fumĂ© Ă la ficelle en 4 tranches 6,79 âŹ. Autant de rĂ©fĂ©rences dĂ©jĂ disponibles chez Auchan, Carrefour, Leclerc... Un film publicitaire TV viendra supporter ces offres dĂšs le 6 avril jusqu'en juin, en trois vagues successives. Ainsi que de nombreux autres programmes mise en place d'ambassadeurs de la marque, communication digitale, annonce presse, affichage et actions en magasins.
Certes be marchĂ© du collect to store n'en est encore qu'Ă„ ses dĂ©buts. Nielsen estrne qu'd represente environ O.S % de part de marchĂ© sur ralimentaire en France (en dehors du drive conventionnel bien sir. qui est dĂ©jĂ un circuit part entiĂšre). c'est tout de mĂȘme dĂ©jĂ rĂ©quivalent de 200 de chlffre d'affaires. 'dais surtout, on Sattend rannĂ©e prochaine un doublement du nombre
Mangez cinq fruits et lĂ©gumes par jourâ », depuis plusieurs annĂ©es, ce slogan est ancrĂ© dans les esprits de tous les Français. Pourtant, beaucoup ne parviennent pas Ă respecter cette consigne. Par goĂ»t, peut-ĂȘtre. Par manque de moyens, sĂ»rement. Et la situation pourrait ne pas sâamĂ©liorer au regard de lâenquĂȘte publiĂ©e par Familles rurales, le 28 juillet dernier. Selon lâassociation, le prix des fruits et lĂ©gumes a augmentĂ© de 17 % pour les produits conventionnels depuis juin 2019. Cette hausse touche Ă©galement les produits bios qui augmentent de 6 %. 20 Minutes a demandĂ© Ă ses lecteurs comment ils faisaient face Ă cette perte de pouvoir dâ consommer Cela peut paraĂźtre hallucinant parce que nous sommes en pleine saison, mais je suis obligĂ©e de me limiter », raconte Martine. Comme elle, nombreux sont ceux qui ont confiĂ© devoir restreindre leur consommation de fruits et lĂ©gumes. Certains, comme Monique sont obligĂ©s de se limiter au strict minimum Ă cause de petits revenus ». Dâautres comme Ingrid, prĂ©fĂšrent rĂ©server ce plaisir pour les enfants, de temps en temps ». Plusieurs lecteurs se disent dĂ©munis face Ă cette flambĂ©e des prix de produits frais, et avouent ne plus pouvoir en consommer tous les jours. Raymond se limite Ă©galement et raconte sâĂȘtre lancĂ© dans la chasse aux promotions entre les magasins. Je passe du temps Ă chercher et Ă comparer ». Tamara, qui ne peut se passer de fruits et lĂ©gumes, explique avoir renoncĂ© aux produits bios et chercher dans les rayons vrac des grandes autre possibilitĂ© sâoffre pour les consommateurs qui souhaitent continuer Ă manger vert » tous les jours, comme lâexplique Dominique Face aux prix scandaleux dans les supermarchĂ©s, je me suis rĂ©solue Ă ne plus en acheter ailleurs que chez les discounters qui gardent des prix corrects. » Dans leurs tĂ©moignages, une partie des internautes choisit chercher une qualitĂ© moindre » plutĂŽt que de se passer de fruits et ne sây est pas rĂ©solue et prĂ©fĂšre sacrifier dâautres postes de dĂ©penses Je privilĂ©gie les lĂ©gumes aux viandes et au poisson. Câest meilleur pour la santĂ© et certains contiennent plus de protĂ©ines. »Le surgelĂ© et la conserve comme premiĂšre solutionLa solution qui revient le plus souvent chez nos lecteurs pour compenser la hausse du prix des fruits et lĂ©gumes est bien connue de tous le surgelĂ©. Loin dâĂȘtre une rĂ©elle concession, beaucoup affirment apprĂ©cier ce mode de conservation. Les lĂ©gumes surgelĂ©s sont de bonne qualitĂ© maintenant. Ils sont mĂȘme souvent meilleurs que ceux quâon trouve frais en supermarchĂ© », assure AndrĂ©e. Adrianne, de son cĂŽtĂ©, abonde et ajoute quâen plus de la qualitĂ©, elle apprĂ©cie de moins regarder son portefeuille Ă lâachat Les prix ne bougent quasiment pas, il nây a pas de mauvaises surprises. » Hatiyce, qui nâa pas tirĂ© une croix sur les produits frais et veut suivre le rythme des saisons, concĂšde toutefois se tourner vers le surgelĂ© en fonction de ses moyens. Autre solution pour elle, la conserve. Comme Camille, qui sây est rĂ©solue et ne regrette pas les pĂȘches, brugnons, prunes qui nâont aucun goĂ»t, pas plus que les tomates insipides que lâon trouve au frais ».Roxanne a choisi une solution intermĂ©diaire. Si elle continue dâacheter des produits frais, elle a sa propre technique pour les payer moins cher JâachĂšte en gros. Ăa coĂ»te moins cher. Ensuite, je les nettoie, je les coupe et je les mets au congĂ©lateur. Ăa me permet dâen avoir pour un moment. » Elle confie mĂȘme un petit secret antigaspillage pour ne rien perdre Quand jâĂ©pluche mes fruits et lĂ©gumes, je garde les peaux pour les nettoyer et ensuite les passer au four. Ăa fait dâexcellentes chips ! » Du cĂŽtĂ© des marchĂ©sPour acheter en gros, un des meilleurs moyens est dâaller au marchĂ©. Danielle regrette les prix quâon peut y trouver Certains producteurs abusent et sâalignent sur les prix des supermarchĂ©s. » Sophia est plus optimiste et conseille Il suffit de sâorganiser et dâĂȘtre parfois un peu patient. Tous ne sont pas aux mĂȘmes tarifs et il est possible de se fournir sans se saigner. » Outre la qualitĂ© des produits que lâon trouve, les producteurs y sont Ă mĂȘme de nĂ©gocier leurs tarifs. Surtout pour les clients rĂ©guliers et ceux qui achĂštent en quantitĂ©. MĂȘme quand on en achĂšte peu, il est possible dâobtenir des tarifs plus abordables comme lâexplique Quentin Je vais Ă la fin des marchĂ©s pour trouver des fruits et lĂ©gumes au rabais. Il faut parfois nĂ©gocier. Mais, en tant quâĂ©tudiant, je ne peux pas me permettre les prix normaux. »Direct au producteurPour Marion, une des principales raisons de ces prix chers est que lâon ne se fit plus aux saisons On sâest habituĂ© Ă des trucs qui viennent du bout du monde. ForcĂ©ment, avec la crise, ils coĂ»tent un bras. » Sa solution ? Consommer local. La meilleure source ? Les producteurs prĂšs de chez elle. LâidĂ©e est la mĂȘme pour Nathalie, assistante maternelle qui doit faire Ă manger tous les midis pour sept personnes, ou pour Cynthia, qui vont Ă la cueillette PrĂšs de Vannes, il y a un producteur oĂč lâon se rend. Le client ramasse lui-mĂȘme les produits et ensuite il passe Ă la caisse. Sans les charges de personnel, les prix au kilo sont bien infĂ©rieurs Ă ce quâon trouve ailleurs. »Si elle ne fait pas la cueillette elle-mĂȘme, Anne, vĂ©gĂ©tarienne, profite aussi de la vente en direct des maraĂźchers prĂšs de chez elle Du coup, je me permets dâacheter des bons fruits et lĂ©gumes bios. »Et lâaccĂšs direct aux producteurs ne se limite pas Ă ceux qui vivent Ă la campagne. Marco explique passer par La Ruche qui dit oui » une coopĂ©rative de producteurs qui permet de commander les produits en ligne Et une fois par semaine, ils se rendent dans un endroit de Paris, il suffit de venir retirer sa commande et on a tout le frais nĂ©cessaire. » Cette solution, Riyad ne devait pas la connaĂźtre. Avec sa compagne, il a lui-mĂȘme pris les choses en main Nous avons sondĂ© nos proches et quelques voisins et nous avons dĂ©marchĂ© quelques producteurs qui, sous certaines quantitĂ©s de commandes, nous livrent une fois par semaine. » Une maniĂšre de profiter des producteurs locaux, mĂȘme lorsquâon vit en des producteurs locaux, il pourrait y en avoir de plus en plus. Le confinementâ semble avoir donnĂ© du temps et des idĂ©es Ă beaucoup de Français disposant dâun peu dâespace vert, comme Chantal Mon potager sâest bien dĂ©veloppĂ© et je commence Ă avoir de tout. » Au point que certains arrivent Ă partager et Ă©changer. Christelle, qui ne peut se contenter des lĂ©gumes de son jardin, a trouvĂ© des rĂ©seaux sur lesquels elle peut acheter les surplus dâautres particuliers. Des voisins, peut-ĂȘtre comme Solenn, dont le terrain est fertile en figues, quâelle peut dĂ©sormais Ă©changer contre les Ćufs de son voisin.
20Heures. Ădition du mercredi 3 juillet 2019. Le secteur de la vente Ă domicile de produits surgelĂ©s est trĂšs concurrentiel. Plusieurs acteurs du
Les surgelĂ©s en FranceLes français, aussi, ont adoptĂ© les produits surgelĂ©s depuis longtemps. Aujourdâhui, ils font partie de leur consommation quotidienne en moyenne, 98,6 % des mĂ©nages en achĂštent pour un budget annuel par famille estimĂ© Ă 223 ⏠en 2016. Au global, le marchĂ© du surgelĂ© pĂšse 9 milliards dâeuros de chiffre dâaffaires en France. Ce qui reprĂ©sente, en volume, prĂšs de 2 millions de tonnes de marchandises, dâaprĂšs produits brutsJouissant dâune image plus positive que les produits ultra-transformĂ©s, les produits bruts sont lâun des piliers du marchĂ© du surgelĂ© en France. Les pommes de terres â sous toutes leurs formes â arrivent en tĂȘte des ventes avec, Ă elles seules, 20,2 % des ventes du surgelĂ© en lĂ©gumes tirent Ă©galement leur Ă©pingle du jeu puisquâils arrivent en deuxiĂšme position des plus importantes ventes du marchĂ© dans lâhexagone. Carottes, oignons, brocolis, choux fleur, courgettes⊠Ensemble, les lĂ©gumes surgelĂ©s totalisent 19,1 % des recettes du poissons, en revanche, ne rencontrent pas le mĂȘme succĂšs. A lâexception du cabillaud, toujours plĂ©biscitĂ© par les consommateurs, les poissons surgelĂ©s ont tous accusĂ© un recul de leurs ventes en global, les produits de la mer surgelĂ©s sont en perte de vitesse entre 2014 et 2017, ils ont perdu 12,9 millions dâeuros de chiffre dâaffaires. Ce qui en fait le segment le plus en recul de lâunivers du surgelĂ© en France ces derniĂšres constat du cĂŽtĂ© des viandes et charcuterie surgelĂ©es, qui perdent quelque peu lâattrait des consommateurs français. Entre 2014 et 2017, leurs ventes ont reculĂ© de -5,5 millions dâeuros sur trois plats prĂ©parĂ©sA lui seul, le marchĂ© des plats cuisinĂ©s surgelĂ©s totalise 5 milliards dâeuros de recettes en 2019. Mais sur ce segment, les tendances sont contrastĂ©es. Les pizzas surgelĂ©es ont ainsi vu leurs ventes croĂźtre de 5 % en 2016, la France Ă©tant, pour rappel, le deuxiĂšme plus gros consommateur de pays au monde derriĂšre les produits Ă base de pommes de terre et les plats tout prĂȘts, cuits en quelques minutes, ont Ă©galement vu leurs ventes progresser respectivement de 1,5 % et 0,9 %. La plus forte progression concerne les produits apĂ©ritifs surgelĂ©s, dont les ventes ont grimpĂ© de 7,6 % sur un an, dâaprĂšs les donnĂ©es de Kantar dâautres catĂ©gories ont reculĂ© en France ces derniĂšres annĂ©es. Câest le cas notamment des produits transformĂ©s contenant de la viande bĆuf, volaille, gibier ou autre, qui ont accusĂ© un recul de -3 % en faut dire que les plats cuisinĂ©s dans lâensemble â mais surtout ceux Ă base de viande â souffraient jusquâĂ rĂ©cemment dâune mĂ©fiance de la part des consommateurs. La raison des scandales alimentaires, dont celui de la viande de cheval dans les lasagnes, qui a Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ© au grand public en les fabricants ont su sâadapter et rĂ©pondre aux attentes des consommateurs, en durcissant par exemple leurs process de fabrication. RĂ©sultat, la confiance des consommateurs revient peu Ă peu et 2019 sâannonce comme une annĂ©e propice au secteur. DâaprĂšs les prĂ©visions de Xerfi, les plats cuisinĂ©s surgelĂ©s devraient en effet voir leurs ventes grimper de 2,5 % sur un an, sâalignant ainsi sur la tendance â dĂ©jĂ haussiĂšre â de pains, desserts et glacesLes glaces bĂ©nĂ©ficient dâun engouement certain de la part des consommateurs. En 2018, le chiffre dâaffaires du secteur a grimpĂ© de 7,8 %, Ă plus de 997 millions dâeuros. Les desserts glacĂ©s se consomment principalement lâĂ©tĂ©, durant les fortes chaleurs, mais Ă©galement en fin dâannĂ©e avec les bĂ»ches de NoĂ«l hausse des ventes reste toutefois Ă nuancer. En effet, les derniĂšres annĂ©es nâont pas toujours Ă©tĂ© positives pour les glaces et desserts glacĂ©s en France. Entre 2014 et 2017, les ventes de ces produits se sont mĂȘme effondrĂ©es, accusant un repli de 5,9 millions dâ pain, quant Ă lui, est en hausse. Une tendance qui se poursuit depuis dĂ©jĂ plusieurs annĂ©es.
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